Economie3 mars 2014
Cache misère
L'euro fort, ce nouvel ennemi public n°1 si pratique pour dissimuler l'impuissance gouvernementale
Najat Vallaud-Belkacem déclarait le 26 février que l'ensemble des ministres "partageaient la préoccupation d'Arnaud Montebourg sur le niveau actuel de l'euro, qui pèserait sur la compétitivité de la France". De quoi faire tomber Angela Merkel de sa chaise.