« Ce sont les classes populaires qui payent le prix de l’immigration de masse ! »<!-- --> | Atlantico.fr
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La Première ministre danoise Mette Frederiksen.
La Première ministre danoise Mette Frederiksen.
©TOBIAS SCHWARZ / AFP

Il y a quelque chose de rafraichissant au royaume du Danemark

Cette phrase a été prononcée par la Première ministre de ce petit pays scandinave.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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A la question d’Hamlet « To be or not to be ? », le Danemark a répondu « to be ». En clair, ça se dit : « Ce sont les classes populaires qui payent le prix de l’immigration de masse ».

Mette Frederiksen est sociale-démocrate, de gauche donc. Dans sa posture anti-immigrationniste, elle est soutenue par les partis de droite et d’extrême-droite. 

Lors des élections législatives prévues le 1ernovembre, ils tenteront de lui ravir son poste de chef du gouvernement. Et s’ils gagnent, ils iront encore plus loin qu’elle. Ces élections ont une particularité inconnue en France. 

En effet, un Danois sur dix ne pourra pas voter. Il s’agit de ceux qui sont nés de parents étrangers : le Danemark, soucieux de préserver son identité, a aboli le droit du sol il y a quelques années : le « to be » remonte donc à loin...

Mette Frederiksen constate une évidence que l’on ne veut pas voir en France. L’immigration de masse fait des ravages parmi les pauvres. Ceux qui habitent encore Roubaix, Stains, La Courneuve ou Trappes le savent bien car ce sont eux et eux seuls qui sont touchés par la délinquance. 

Les beaux quartiers, eux, ont réussi à se préserver de l’immigration de masse : là-bas, le prix du mètre carré est trop cher pour que l’on n’y construise des HLM. Si le cœur vous en dit, prenez l’avion pour Copenhague. Une jolie petite ville où on peut voir la célèbre petite sirène d’Andersen. Et surtout où l’on peut respirer librement....

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