Fashion victim ?
Anne Hidalgo, ses poubelles, et ses robes…
Parlons chiffons, sans oublier les ordures.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Le sondage publié par Le Figaro est accablant pour elle. Seuls 26% des Parisiens se montrent satisfaits de vivre dans la capitale. Pire pour elle, ils ne sont que 36% à l’apprécier dans le XVIIIe, le XIXe et le XXe qui pourtant votent à gauche.
Paris est sale. Et n’a pas attendu la grève des éboueurs pour l’être. D’ailleurs Anne Hidalgo s’est farouchement opposée à ce qu’on les réquisitionne. Au royaume des poubelles, la maire de Paris est reine. Abordons maintenant la question plus sensible, plus délicate et plus dissimulée de ses notes de frais.
Pendant des années, Anne Hidalgo a bataillé pour les garder secrètes. Avait-elle quelque chose à cacher ? Puis le Conseil d’Etat a eu raison de son obstination. Les notes de frais de la maire de Paris sont donc désormais publiques.
Et on y apprend des choses intéressantes qui ne sont quand même pas toutes à son débit. Elle a dépensé des milliers d’euros pour des voyages aux quatre coins du monde. Normal : elle allait plaider la candidature de Paris pour les JO de 2024. Rien à redire.
Mais question fringues, nous sommes plus dubitatifs. Elle a acheté des robes de marque : Courrèges, Dior. Etait-ce bien nécessaire ? On trouve des robes parfaitement convenables chez H & M et aussi au Monoprix.
Une photo d’Anne Hidalgo posant dans une robe Dior devant un tas d'ordures, ça aurait de la gueule.
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