Pourquoi il ne faut pas uriner dans la piscine ; les végétariens en moins bonne santé que les carnivores ? <!-- --> | Atlantico.fr
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Uriner dans la piscine aboutit à la formation d’au moins deux composés toxiques pour la santé.
Uriner dans la piscine aboutit à la formation d’au moins deux composés toxiques pour la santé.
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Et aussi : En bref : la bière contre les méfaits du barbecue ? ; Cholestérol : bientôt un nouveau médicament ? ; L’allaitement prévient le risque d'obésité.

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Les végétariens en moins bonne santé que les carnivores ?

Bien s’alimenter est une des clés d’une bonne santé. Souvent, le régime végétarien est jugé meilleur pour notre organisme. Néanmoins, une nouvelle étude semble indiquer que les amateurs de verdure ne se portent pas forcément mieux que les mangeurs de viande, et souffrent plus fréquemment de certains maux.

La société moderne souffre d’un mal nouveau depuis quelques décennies : une recrudescence des maladies métaboliques liées à notre mode de vie et à notre alimentation. La malbouffe s’accompagne d’un apport excédentaire en sucres et en graisses, au détriment des bienfaits des fruits et légumes. Cependant, les personnes végétariennes semblent mieux armées pour détenir les clés d’une plus grande longévité.

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Science décalée : pourquoi il ne faut pas uriner dans la piscine

Non seulement c’est dégoûtant, mais en plus c’est dangereux. Uriner dans la piscine aboutit à la formation d’au moins deux composés toxiques pour la santé. Voilà pourquoi il faut suivre les consignes placardées partout.

Qui n’a au moins jamais été tenté de vider sa vessie dans la piscine pour s’éviter d’aller jusqu'aux toilettes ? Cette pratique, finalement banale, n’est pas aussi anodine qu’on le pense. Car au moins l’un des composants de l’urine engendre la formation de deux molécules toxiques, la trichloramine et le chlorure de cyanogène, d’après une étude parue dans Environmental Science & Technology.

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En bref : la bière contre les méfaits du barbecue ?

Avec l’arrivée des beaux jours, les barbecues sont de sortie. Bien qu’il rende la viande délicieuse, ce style de cuisson peut aussi être toxique. Heureusement, des chercheurs portugais ont trouvé un remède étonnant pour contrer le problème : mariner la viande dans la bière.

Cuire la viande au barbecue n’est pas bon pour la santé. De nombreux travaux ont en effet mis en lumière les méfaits des hydrocarburesaromatiques polycycliques, les HAP. Ces composés toxiques sont libérés lorsque les flammes viennent lécher la viande. Dans une étude publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, des chercheurs de l’université de Porto semblent avoir trouvé une solution pour diminuer ce risque : faire préalablement mariner la viande dans de la bière !

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Cholestérol : bientôt un nouveau médicament ?

Un nouvel anticholestérol expérimental très prometteur est en cours de test. Il pourrait offrir à certains malades une alternative aux statines, les médicaments utilisés depuis 25 ans pour lutter contre l’hypercholestérolémie.

Le cholestérol circule dans le sang grâce à deux types de transporteurs, les HDL (high-density lipoproteins) et les LDL (low-density lipoproteins), les deuxièmes étant plus connues sous le nom de « mauvais cholestérol ». Lorsque les LDL fonctionnent mal ou qu’ils sont trop nombreux, le cholestérol s’accumule dans le sang et forme des plaques qui bouchent progressivement les artères. À terme, cela peut augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires. Les statines inhibent l’action de l’hydroxyméthylglutaryl-CoA réductase, une enzyme qui stimule l’activité des LDL.

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L’allaitement prévient le risque d'obésité

L’allaitement permet-il de diminuer le développement de l’obésité ? Oui, selon des chercheurs français qui montrent que l’alimentation avant deux ans joue également un rôle prépondérant. Une nourriture pauvre en lipides pendant l’enfance peut en effet accentuer le risque de devenir obèse à l’âge adulte.

Des études récentes se sont intéressées à l’influence de l’allaitement sur le risque d’obésité chez l’enfant. Les résultats montraient des tendances bénéfiques, mais n’étaient pas toujours concluants. Les études ajustaient leurs résultats en prenant en compte différents facteurs tels que les catégories sociales, le poids des parents, l’âge de la diversification, etc. Mais jusqu’à présent, aucune étude n’effectuait l’ajustement sur les apports nutritionnels après l’allaitement. Or, il a été montré que la nutrition au cours des deux premières années de la vie avait aussi des conséquences à long terme sur la santé.

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