La Nasa identifie trois astéroïdes qu'elle pourrait capturer ; Curiosity ne détecte pas de méthane...<!-- --> | Atlantico.fr
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La probabilité qu'une forme de vie produisant du méthane existe sous la surface de Mars s'éloigne.
La probabilité qu'une forme de vie produisant du méthane existe sous la surface de Mars s'éloigne.
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Et aussi : Réduire les gaz à effet de serre sauverait des millions de vies ; l'éléphant d'Ebbsfleet éclaire les techniques de chasse préhistoriques.

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La Nasa identifie trois astéroïdes qu'elle pourrait capturer

Les plans de la Nasa pour la capture et le remorquage d’un astéroïde se précisent. Dernière étape en date, la sélection de trois candidats qui vont faire l’objet d’une étude approfondie, afin de déterminer si l’un d’eux pourrait être capturé dans les dix prochaines années.

Le projet de la Nasa de capture d’un astéroïde, controversé, ne suscite guère l'enthousiasme des scientifiques, mais il pourrait relancer l’intérêt du grand public pour le programme spatial des États-Unis. Il a de quoi alimenter les idées des sociétés privées, d'autant plus que le responsable de l’exploration humaine à la Nasa, Bill Gerstenmaier, a déclaré que sous certaines conditions, la Nasa les laisserait débarquer sur l’astéroïde.

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Curiosity ne détecte pas de méthane, un marqueur du vivant

La probabilité qu’une forme de vie produisant du méthane existe sous la surface de Mars s’éloigne. En effet, depuis qu’il est arrivé sur la Planète rouge, Curiosity n’a détecté aucune trace de ce gaz dans l'atmosphère.

Des résultats qui ne concordent pas avec les mesures effectuées en 2003 et 2009.La présence de méthane dans l’atmosphère martienne anime les débats, depuis la découverte de traces de ce gaz en 2003 par la sonde Mars Express de l’Esa. Elle a ensuite été confirmée par les sondes de la Nasa en orbite autour de la Planète rouge. En janvier 2009, des chercheurs parvenaient même à détecter des variations saisonnières d'émissions de méthane à certains endroits de la surface de Mars.

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Réduire les gaz à effet de serre sauverait des millions de vies

Les émissions massives de gaz carbonique dans l’atmosphère amplifient l’effet de serre, mais pas seulement. La combustion des énergies fossiles libère bien souvent des particules fines et de l’ozone troposphérique, des polluants fortement nocifs.

Selon les estimations surprenantes de chercheurs de l’université de Caroline du Nord, indirectement, réduire les gaz à effet de serre pourrait éviter de nombreux décès prématurés, plus de 2 millions en 2100 précisent-ils.Réduire dès à présent les émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sauverait la vie d’un demi-million de personnes par an en 2030, de 1,3 million en 2050 et de 2,2 millions en 2100. Épargner tous ces humains aurait en outre un avantage économique, estimé entre 50 et 380 dollars gagnés par tonne de gaz carbonique non émis... Ces résultats sont pour le moins déconcertants, et difficiles à vérifier, mais ils donnent au moins un ordre de grandeur non négligeable.

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L'énigme des séismes profonds est peut-être résolue

L’existence de séismes se produisant à plusieurs centaines de kilomètres de profondeur dans le manteau rend les géophysiciens perplexes. Une équipe internationale composée de membres de plusieurs laboratoires du CNRS, dirigée par Alexandre Schubnel du laboratoire de géologie de l'École normale supérieure, vient d’apporter une nouvelle pièce au débat sur l’origine de ces séismes profonds. Il s’agirait bien d’un changement d’état cristallin affectant un minéral présent dans des plaques subductées, l’olivine.

La sismologie a fait de grands progrès depuis les travaux des pionniers qu’étaient Emil Wiechert, Richard Dixon Oldham et Harold Jeffreys au début du XXe siècle. Cette science s’est avérée précieuse pour l’établissement de la théorie de la tectonique des plaques, conjointement avec la découverte des inversions magnétiques. En retour, la théorie des plaques a permis de comprendre pourquoi la majorité des séismes étaient rassemblés le long de lignes que l’on sait maintenant être des frontières entre plaques. Nous comprenons maintenant pourquoi les volcans de la célèbre ceinture de feu du Pacifique se trouvent autant associés à des zones sismiquement actives.

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L’éléphant d’Ebbsfleet éclaire les techniques de chasse préhistorique

L’éléphant géant d’Ebbsfleet aurait été découpé par au moins quatre humains, d’après l’analyse de 80 outils en silex trouvés dans son voisinage. Surprenant ? Oui, car la scène se déroulait il y a 420.000 ans, bien avant l'apparition de l'espèce humaine.

Ainsi, les hominidés peuplant le Royaume-Uni à cette époque coopéraient pour dépecer les grands herbivores, et peut-être même pour les chasser, comme le suggèrent quelques indices. La première ligne ferroviaire à grande vitesse britannique a partiellement été inaugurée en 2003. Longue de 108 km, elle part du sud de Londres pour ensuite rejoindre le tunnel sous la manche, en passant par la vallée d'Ebbsfleet au sud de la Tamise. C'est là qu’ont été découverts les restes d’un Palaeoloxodon antiquus durant la construction d’une deuxième partie de la ligne, toujours en 2003. Il s’agit d’une espèce d’éléphant aujourd’hui disparue, mais dont les représentants adultes étaient deux fois plus grands que les actuels éléphants d’Afrique voilà 420.000 ans, son âge estimé.

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