Fido : après les Google Glass, le chien connecté ; un silex taillé vieux de 1,4 million d'années découvert à Atapuerca...<!-- --> | Atlantico.fr
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Des chercheurs ont réalisé un prototype d'appareil qui permet à un chien d'envoyer un message aux Google Glass de son maître.
Des chercheurs ont réalisé un prototype d'appareil qui permet à un chien d'envoyer un message aux Google Glass de son maître.
©Reuters

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Et aussi : bientôt un télescope privé au pôle sud de la Lune ; la fonte de l'Antarctique relève le niveau de la mer depuis le Pliocène.

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Fido : après les Google Glass, le chien connecté

Des chercheurs du Georgia Institute of Technology ont réalisé un prototype d’appareil qui permet à un chien d’envoyer un message aux Google Glass de son maître, en activant un capteur. Placé sur un harnais ou un collier, ce dispositif, doté de capteurs à mordre ou à tirer par l’animal, aiderait à communiquer plus facilement avec une personne handicapée ou des équipes de sauvetage.

Tel maître, tel chien ? Si les Google Glass du géant d’Internet font beaucoup parler d’elles, le chien pourrait bien se retrouver lui aussi affublé d’un accessoire connecté. N’imaginez toutefois pas des Google Glass rivées sur les yeux de l’animal. Il s’agit plutôt d’un dispositif fixé à un harnais ou un collier, qui lui permettrait de mieux communiquer avec son maître.

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Des nouvelles de G2, le nuage qui frôle notre trou noir central

Un nuage de gaz contenant l’équivalent de trois fois la masse de la Terre fonce en direction du trou noir supermassif au cœur de la Voie lactée : nous le savons depuis 2011. Actuellement, il frôle ce trou noir. Les forces de marée l'étirent et le morcellent. Sa partie avant a dépassé le point le plus proche de sa trajectoire, et s'éloigne du trou noir à plus de 10 millions de kilomètres par heure. Sa partie arrière continue de chuter sur lui.

Les galaxies possèdent un trou noir supermassif central, dont la masse est comprise entre quelques millions et quelques milliards de masses solaires. On sait aussi que ces trous noirs sont à l’origine des quasars quand accrètent de grandes quantités de gaz. Mais on ne sait ni comment ces astres sont apparus ni d’où ils tirent la matière qui les alimente lorsqu’ils se transforment en noyaux actifs de galaxie.

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Un silex taillé vieux de 1,4 million d’années découvert à Atapuerca

Chaque année, le site préhistorique d’Atapuerca (Espagne) se dévoile un peu plus. Ainsi, des scientifiques viennent d’y découvrir un silex taillé vieux de 1,4 million d’années, prouvant ainsi la présence du genre Homo sur le site à cette époque. De plus, une omoplate vieille de 800.000 ans vient enfin d’être libérée de sa gangue minérale. Elle appartenait à un enfant de l’espèce Homo antecessor. 

Classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2000, le site préhistorique d’Atapuerca fait chaque année l’objet de fouilles durant le mois de juillet. Leur but : en apprendre plus sur l’évolution de l’Homme et son arrivée en Europe de l’Ouest, voici théoriquement 1,5 million d’années. Depuis 1976, plusieurs découvertes majeures ont rendu célèbres trois grottes explorées : Gran Dolina, Sima del Elefante (la grotte de l’éléphant) et Sima de los Huesos (la grotte des os).

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Bientôt un télescope privé au pôle sud de la Lune

La privatisation de l’espace touche également la Lune. Le report du retour de l’Homme sur l’astre sélène à des périodes économiquement plus fastes pousse des sociétés privées à investir sur la Lune. Après les projets d’exploitation des ressources naturelles, deux firmes projettent d’y installer un télescope optique et radio vers 2016.

Une start-up, Moon Express, et une association à but non lucratif, International Lunar Observatory Association (Iloa), ont l'intention d'installer un instrument d'astronomie sur un pic lunaire de cinq kilomètres de haut dans le cratère Malpert. Cet observatoire miniature serait composé d'un petit télescope optique et d'une antenne parabolique de deux mètres. Au pôle sud de notre satellite, ce site dispose d’une température relativement stable, autour de -50 °C, et d’un fort taux d'ensoleillement qui permet de se passer d'une source d’énergie autonome (nucléaire). Les panneaux solaires et des batteries suffiront amplement.

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La fonte de l’Antarctique relève le niveau de la mer depuis le Pliocène

La région située à l'est de l’Antarctique est beaucoup plus sensible au changement climatique qu’on ne le pensait jusque-là. Au Pliocène, à elle seule, cette partie de l’inlandsis a tellement fondu qu’elle aurait provoqué une hausse du niveau de la mer de 10 m sur les 20 m totalisés en incluant les fontes de sa partie ouest et du Groenland.

Au Pliocène, c'est-à-dire il y a entre cinq et trois millions d’années, la fonte partielle de l’Antarctique de l’est aurait entraîné à elle seule une hausse du niveau de la mer de 10 m. Au cours de cette période, l’Antarctique de l’ouest et le Groenland fondaient également, si bien qu’au total la fonte des pôles pourrait bien avoir engendré une hausse du niveau de la mer de 20 m.

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