Coupe du monde de football 2014 : attention à la dengue ; l'espérance de vie a franchi le cap des 80 ans dans l'OCDE<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Santé
Les épidémies de dengue pourraient encore être assez importantes dans trois des villes hôtes de la coupe du monde de football au Brésil.
Les épidémies de dengue pourraient encore être assez importantes dans trois des villes hôtes de la coupe du monde de football au Brésil.
©Reuters

Atlantico santé

Et aussi : Alzheimer : des bébés à risque présentent déjà un cerveau différent ; La thérapie génique, un succès contre l’hémophilie… chez le chien ; De la peau obtenue depuis des cellules souches du cordon ombilical.

Futura Sciences

Futura Sciences

Magazine online de la découverte, de la science et de l’innovation, Futura-Sciences propose à ses lecteurs un contenu mis à jour en permanence et richement illustré.

Voir la bio »

Coupe du monde de football 2014 : attention à la dengue

Entre le 12 juin et 13 juillet 2014, le Brésil accueillera la vingtième Coupe du monde de football. Environ 500.000 supporters sont attendus (dont une partie pour encourager les Bleus). Mais attention, les épidémies de dengue pourraient encore être assez importantes dans trois des villes hôtes.

19 novembre 2013, vers 22 h 50. L’arbitre slovène Damir Smokina siffle la fin d’un match haletant qui voit l’équipe de France de football finalement obtenir son ticket pour la Coupe du monde, qui se tiendra entre le 12 juin et le 13 juillet 2014 au Brésil. Les supporters exultent. Ils iront donc encourager leurs troupes, comme le feront les fans des 31 autres nations représentées lors de cette compétition, qui se défieront dans l’enceinte de 12 stades répartis dans autant de villes. Les organisateurs vont mettre en vente 3,3 millions de billets et s’attendent à la venue d’environ 500.000 personnes. Pas étonnant, le tournoi constitue l’un des événements les plus suivis au monde.

Lire la suite sur futura sciences

L’espérance de vie a franchi le cap des 80 ans dans l’OCDE

En 2011, et pour la première fois de l’histoire, l’espérance de vie moyenne a dépassé les 80 ans dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Quelles seront les conséquences de ce vieillissement de la population ?

L’espérance de vie à la naissance, plus communément appelée espérance de vie, représente, comme son nom l’indique, la durée moyenne pendant laquelle une personne qui vient de naître peut espérer vivre. Cette statistique est valable pour une année donnée et évolue avec le temps. On peut facilement imaginer que l’espérance de vie à la naissance d’aujourd’hui est différente de celle d’il y a cent ans.

Lire la suite sur futura sciences

Alzheimer : des bébés à risque présentent déjà un cerveau différent

Dès les premiers mois de la vie, les bébés porteurs d’un gène qui prédispose à la maladie d’Alzheimer connaissent un développement cérébral différent. Il ne s’agit pas de déceler d’éventuels troubles cognitifs à l’avenir, mais d’essayer de mieux comprendre le rôle de la génétique dans le développement de la neurodégénérescence. Elle pourrait devenir l’un des maux du XXIe siècle.

La maladie d’Alzheimer constitue la principale cause de démence dans le monde, et les estimations considèrent que d’ici les prochaines décennies, son incidence pourrait tripler, du fait notamment du vieillissement constant de la population. Pourquoi ne parvient-on pas à la contrôler ? Parce que la neurodégénérescence demeure un mystère, qu’il reste de nombreuses inconnues et qu’aucun traitement ne peut l’enrayer, et encore moins la soigner.

Lire la suite sur futura sciences

La thérapie génique, un succès contre l’hémophilie… chez le chien

Les hémophiles sont contraints de s’injecter régulièrement des facteurs de coagulation pour limiter les risques d’hémorragie. La thérapie génique, qui a déjà connu un succès contre l’hémophilie de type B, pourrait également venir au secours des patients atteints du type A. Des études chez le chien sont prometteuses et devraient être testées chez l’Homme dans les prochaines années. L’organisme possède un système rapide et efficace pour réparer les blessures. Quand la paroi d’un vaisseau sanguin est abîmée, une multitude d’acteurs interviennent. Les plaquettes sont les premières à réagir et se positionnent sur la plaie pour colmater les brèches. Elles sont rapidement soutenues par diverses protéines plasmatiques, appelées facteurs de coagulation. Ce phénomène, appelé coagulation sanguine, aboutit à la formation d’un caillot qui endigue l’hémorragie.

Lire la suite sur futura sciences

De la peau obtenue depuis des cellules souches du cordon ombilical

Des scientifiques espagnols sont parvenus pour la première fois à synthétiser de la peau artificielle à partir de cellules souches trouvées dans le cordon ombilical. Une nouvelle intéressante pour les grands brûlés, obligés d’attendre plusieurs semaines qu’on leur propose une greffe.

Depuis la découverte des cellules souches pluripotentes induites en 2006 par Shinya Yamanaka, les scientifiques tentent de recréer divers tissus depuis des cellules différenciées de l’organisme. Bien souvent, les chercheurs se sont servis de cellules de la peau, à partir desquelles ils ont obtenu des cellules souches, des cellules du sang, des neurones ou même des ovocytes capables de donner naissance à des souris fertiles.

Lire la suite sur futura sciences

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !