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ol. Globalement, c’est dans les pays de l’Est que l’on boit le plus.
ol. Globalement, c’est dans les pays de l’Est que l’on boit le plus.
©Reuters

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Et aussi : Des bactéries dans le placenta responsables des naissances prématurées ? ; Le virus Zika, nouvelle menace véhiculée par le moustique-tigre ? ; En bref : des molécules végétales pour remplacer le bisphénol A .

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Alcool : c’est à tribord qu’on boit le plus fort

L’OMS vient de publier la carte de la consommation mondiale d’alcool. Globalement, c’est dans les pays de l’Est que l’on boit le plus. Mais le Portugal se mêle également à la lutte, avec une consommation moyenne de plus de 12,5 litres d'alcool pur par personne et par an. Les Français restent (un peu) plus raisonnables.

La Russie et ses voisins ukrainiens et polonais sont les pays qui consomment le plus d'alcool par habitant dans le monde, selon un rapport publié cette semaine par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Après avoir associé les chiffres avérés de la consommation d'alcool par habitant et ceux estimés du taux de consommation par personne et par an, les analystes de l'OMS ont établi une carte qui offre un regard révélateur sur les habitudes de consommation d'alcool à travers le monde.

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Des bactéries dans le placenta responsables des naissances prématurées ?

Longtemps considéré comme un organe stérile, le placenta contient en réalité une flore bactérienne ressemblant fortement à celle observée dans la bouche. Point intéressant : elle diffère nettement entre les femmes qui donnent la vie prématurément et les mères qui accouchent à terme. De là à établir un lien entre la santé buccodentaire et les naissances prématurées il y a un pas, que les scientifiques osent seulement suggérer.

Les bactéries sont partout, même là où elles ne sont pas censées se retrouver. Dans l’urine par exemple, fluide organique que l’on pensait stérile mais qui se révèle malgré tout contaminé. Ou le placenta, qui était supposé ne pas contenir de micro-organismes non plus et dans lequel des recherches précédentes ont révélé quelques cellules colonisées par des bactéries. Des découvertes importantes étant donné les rôles fondamentaux que joue cette flore microbienne au niveau des organismes dans leur entier, comme l’ont montré les études de ces dernières années.

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Attention, Wikipédia n’est pas un bon médecin...

Lorsqu’on se sent malade, le premier réflexe est souvent d’aller se renseigner sur la toile, et souvent sur Wikipédia, très bien positionné dans les moteurs de recherche. Mais c’est une mauvaise idée car des scientifiques ont révélé de nombreuses erreurs dans les entrées, en langue anglaise, de 9 des 10 maladies les plus coûteuses aux États-Unis.

Internet a bouleversé notre façon de consommer l’information. Autrefois, il fallait s’installer dans une bibliothèque pour se renseigner sur le monde. Désormais, avec un smartphone ou une tablette tactile, nous disposons de ressources quasi-infinies à notre portée en permanence. Si bien qu’à la moindre interrogation, nous sommes nombreux à solliciter les moteurs de recherche pour assouvir notre soif de réponse, parfois peut-être au détriment de notre réflexion et de notre mémoire.

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Le virus Zika, nouvelle menace véhiculée par le moustique-tigre ?

Après la dengue et le chikungunya, faut-il craindre un troisième arbovirus, nommé Zika ? Si on le pensait rare mais émergent, à l’origine de seulement deux épidémies dans le Pacifique depuis 2007, une étude révèle qu’il pourrait être bien plus courant. La preuve au Gabon en 2007, où ce qu’on croyait être une épidémie concomitante de dengue et de chikungunya était en réalité complétée par tout autant de cas de fièvre Zika. Pas étonnant puisque les trois maladies partagent le même vecteur, le moustique-tigre, qui progressivement s’installe en France.

Dans le groupe des virus de la dengue et du chikungunya, un nouveau venu commence à faire parler de lui. Originaire lui aussi d’Afrique, Zika a été isolé chez l’Homme dans les années 1960. Il y a quelques années encore, seuls quelques cas humains avaient été rapportés. Il faut attendre 2007 pour que le virus révèle sa capacité épidémique, avec 5.000 cas en Micronésie, dans le Pacifique, puis surtout, fin 2013 en Polynésie, où 55.000 personnes ont été touchées. À la lumière de ces récents événements, des chercheurs de l’IRD et du CIRMF au Gabon se sont repenchés sur l’épidémie concomitante de dengue et de chikungunya survenue en 2007 dans la capitale Libreville et qui a affecté 20.000 personnes. Présentant quasiment les mêmes symptômes que ses deux redoutés cousins, Zika est-il passé inaperçu aux yeux des scientifiques ?

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En bref : des molécules végétales pour remplacer le bisphénol A

Considéré comme perturbateur endocrinien, le bisphénol A (BPA) sera retiré du marché français le 1er janvier 2015. Pour le remplacer, des chercheurs ont élaboré une gamme de molécules non dangereuses à partir de matières premières d’origine végétale.

Le bisphénol A est une molécule organique qui entre dans la composition de plastiques et de résines. Il est notamment utilisé dans la fabrication de récipients alimentaires tels que les bouteilles. On le retrouve également dans les films de protection à l’intérieur des canettes et sur les tickets de caisse, où il est utilisé comme révélateur.

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