WikiLeaks : Julian Assange est « libre » après un accord avec la justice américaine<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Cette photo montre le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, regardant par la fenêtre alors que son avion en provenance de Londres s'approche de Bangkok, le 25 juin 2024.
Cette photo montre le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, regardant par la fenêtre alors que son avion en provenance de Londres s'approche de Bangkok, le 25 juin 2024.
©WikiLeaks / AFP

Dénouement

Désormais poursuivi pour « complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale », l’Australien devrait plaider coupable de ce seul chef.

Julian Assange est « libre ». Il a quitté lundi le Royaume-Uni à bord d'un avion après avoir négocié un accord de plaider coupable avec la justice américaine qui réclamait son extradition, a annoncé son organisation, WikiLeaks.

L’Australien, poursuivi pour avoir exposé des centaines de milliers de documents confidentiels, doit comparaître mercredi à 09H00 locales (mardi 23H00 GMT) devant un tribunal fédéral des îles Mariannes, un petit territoire américain du Pacifique.

Wikileaks a diffusé une vidéo de 13 secondes sur laquelle on voit Julian Assange monter l'escalier de l’avion qui doit atterrir à Bangkok mardi vers 11H50 (04H50 GMT) pour se ravitailler en carburant et en eau. Il doit ensuite redécoller pour Saipan, aux îles Mariannes, vers 21H00 (14H00 GMT), a indiqué à l'AFP un responsable thaïlandais sous couvert d’anonymat.

« Julian est libre!!! », a exulté son épouse Stella Assange, exprimant une « immense gratitude » envers ceux qui se sont mobilisés « depuis des années » pour que sa libération devienne « réalité ». « Je suis reconnaissante que le calvaire de mon fils touche enfin à sa fin. Cela montre l'importance et le pouvoir de la diplomatie discrète », a déclaré sa mère, Christine Assange, dans un communiqué diffusé par les médias australiens. Le gouvernement australien a également commenté ce dénouement en estimant que l'affaire Assange avait « traîné en longueur depuis trop longtemps » et que son maintien en détention ne présentait plus aucun intérêt.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !