Ubériser sans précariser : le gouvernement n'a pas tranché<!-- --> | Atlantico.fr
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Coursiers à vélo
Coursiers à vélo
©GERARD JULIEN / AFP

Précaire

Une remise en question du modèle social français

Les coursiers de Deliveroo, Glovo ou encore Uber Eats : des livreurs de moins de 30 ans, d’origine africaine pour la plupart sont devenus un symbole malgré eux, celui de l’ubérisation de l’économie, en référence à la plus célèbre des plates-formes, Uber constate un long article du Monde.

Le 3 décembre, les prud’hommes trancheront un énième conflit opposant la société Frichti à des coursiers demandant la reconnaissance de l’existence d’un contrat de travail. Alors que les affaires de ce type se multiplient devant les tribunaux, ces plates-formes sont devenues le symbole d’une remise en question du modèle social français ajoute Le Monde.

En France,  le statut de ces travailleurs ne fait l’objet d’aucun consensus, tant du côté des collectifs les représentant que des plates-formes. En France, celles qui font reposer leur modèle sur l’indépendance des prestataires sont catégoriques : « Les livreurs sont attachés à leur liberté », défend un porte-parole de Deliveroo.

Les collectifs de défense militent pour que le dialogue social se concentre sur le seul sujet de la rémunération. Tandis que  l’arrivée de nouvelles structures sur le marché de la livraison, qui font le choix du salariat, contribue aussi à mettre la pression sur les acteurs historiques.

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