Paris : 40 dark stores (entrepôts de livraison rapide) devront fermer ou déménager<!-- --> | Atlantico.fr
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©Flickr/unicellular

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Le gouvernement a tranché : ce ne sont pas des magasins

 Installées discrètement au fond d’une cour intérieure ou derrière des vitres opaques d’un local donnant sur rue, ces entreprises sans devanture ni enseigne, devant lesquelles se déroulent des ballets incessants de vélos ou de scooters, provoquent l’exaspération des riverains et des commerçants de proximité, qui dénoncent une concurrence déloyale souligne Le Parisien.

Un arrêté, qui sera promulgué dans les prochains jours, mettra fin au flou juridique entourant ces entrepôts fantômes qui acheminent à votre domicile des produits de consommation courante en moins de quinze minutes. Ils seront désormais bien considérés comme des entrepôts, qu’ils disposent ou pas d’un point de retrait ou de vente ajoute Le Parisien.

Grâce à la définition sans équivoque retenue par le gouvernement, la mairie de Paris va pouvoir poursuivre son offensive contre les dark stores. Dans la capitale, la plupart des acteurs sont hors des clous, soit parce qu’ils se sont installés au pied d’un immeuble — le PLU (Plan Local d'Urbanisme) interdit l’implantation d’entrepôts au rez-de-chaussée de bâtiments d’habitation —, soit parce qu’ils ont transformé, sans autorisation, un local commercial en entrepôt explique Le Parisien.

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