Diagnostic de performance énergétique : les effets pervers secondaires de la loi<!-- --> | Atlantico.fr
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©Flickr/unicellular

Immobilier

Les locataires se félicitent

« Cela fait des années que l’on réclame des rénovations énergétiques qui favorisent le pouvoir d’achat des locataires », salue le président de la Confédération nationale du logement (CNL), Eddie Jacquemart cité par Le Monde.

« On est en train de transformer une bonne idée en catastrophe industrielle », critique, au contraire, le président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), Christophe Demerson. Depuis le 1er janvier, un demi-million de logements, dont 190 000 loués, sont considérés par le  diagnostic de performance énergétique comme des passoires thermiques et cela divise locataires et propriétaires.

Depuis le 25 août 2022, les loyers de 2 millions de « passoires thermiques » (c’est-à-dire les logements notés F et G, qui représentent environ 20 % du parc locatif privé et 10 % du parc HLM) ont été gelés.

Quant à l’interdiction de location, elle sera étendue des G+ à l’ensemble des G en 2025, puis aux F en 2028 et, enfin, aux 2,8 millions de locations classées E, en 2034.

Face à cette situation certains propriétaires vendent, faute de vouloir ou pouvoir payer la rénovation de leur bien.

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