Lire l'étiquette des produits permet de rester mince et la barbe est un bouclier contre les rayons du soleil...<!-- --> | Atlantico.fr
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Le constat est plutôt original : les consommatrices qui lisent les étiquettes alimentaires pèsent 4 kg de moins que les femmes qui n'y prêtent pas attention.
Le constat est plutôt original : les consommatrices qui lisent les étiquettes alimentaires pèsent 4 kg de moins que les femmes qui n'y prêtent pas attention.
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Et aussi : laisser bébé pleurer n'est pas vraiment mauvais pour sa santé, recâbler le cerveau pour guérir de l'autisme et améliorer l'audition grâce à des cellules souches.

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Les femmes qui lisent les étiquettes des aliments sont moins grosses

Les explications restent à fournir mais le constat est plutôt original : les consommatrices qui font attention aux étiquettes alimentaires pèsent 4 kg de moins que les femmes qui n’y prêtent pas attention et ont également un IMC inférieur. Surprenant, non ?

Des scientifiques de l'Universidade de Santiago de Compostela (Espagne) ont relié la lecture des étiquettes de produits à la prévention de l'obésité. En effet, ils ont établi que les femmes qui lisent les informations nutritionnelles sur les étiquettes de produits alimentaires pèseraient en moyenne 4 kg de moins que celles qui les ignorent.

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Laisser bébé pleurer (un peu) n’est pas mauvais pour sa santé

Il y a les pour et il y a les contre. Faut-il laisser le bébé pleurer un peu durant la nuit ? Une nouvelle étude vient de renvoyer les deux parties dos à dos : dans un cas ou dans l'autre, les enfants se portent aussi bien…

Lorsque le bébé se réveille en pleine nuit et se met à pleurer, que faut-il faire ? Se précipiter pour le rassurer ou le laisser s’exprimer un peu avant de venir le retrouver ? Les pédiatres ne se sont toujours pas mis d’accord sur cette question.

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La barbe, un indice de protection solaire de 20

Verra-t-on débarquer une horde de pères Noël sur les plages l’été prochain ? La barbe pourrait devenir à la mode puisqu’elle protège des ultraviolets du soleil. Et dans ce cas, c’est bien la longueur qui compte : plus elle est fournie et moins les rayons la traverse !

Toutes les découvertes scientifiques se valent-elles ? La mise en évidence de la gravitation universelle, la réussite du premier vaccin ou la formule de la relativité restent des progrès conséquents dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, certains scientifiques s’attaquent à des questions beaucoup moins épineuses avec tout le sérieux du monde. Si l’annonce de chercheurs de l’University of Southern Queensland (Australie) ne révolutionnera probablement pas la vie sur Terre, elle révèle néanmoins que la barbe humaine, d’autant plus si elle est longue, protège des dégâts du soleil sur la peau. Déjà bon à savoir…

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Peut-on recâbler le cerveau pour guérir l'autisme ?

Et si c’était une révolution dans l’univers de l’autisme ? Des chercheurs suisses pensent qu’il est envisageable de « rebrancher » correctement le cerveau des personnes autistes en réactivant uniquement un gène, parlant ainsi d’une possible thérapie de la maladie. Sommes-nous proches d'un premier traitement curatif des troubles du spectre autistique ?

Les termes de « troubles envahissants du développement » regroupent un ensemble de maladies, caractérisées par des difficultés dans les interactions sociales, l’apprentissage, l'acquisition du langage ou encore par des comportements stéréotypés. Parmi eux, l’autisme, qui existe sous diverses formes.

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Traiter la surdité à l'aide de cellules souches sera-t-il possible ?

Bonne nouvelle pour les malentendants : grâce à des cellules souches, des gerbilles, petits rongeurs, ont pu améliorer leur audition de 46 %. Les chercheurs sont confiants, la technique pourrait s’appliquer à l’Homme. Mais pas avant quelques années

De très nombreuses causes peuvent nous rendre sourd ou malentendant. Les cellules réceptrices peuvent être endommagées par exemple et ne pas transmettre l’information sonore au nerf auditif, qui est censé l’acheminer jusqu’au cortex auditif, l'analyste primaire du son. Le défaut peut se situer à d’autres niveaux et affecter les neurones. Dans ce cas, l’implant cochléaire est inutile : il n’existe aucune façon de traiter cette surdité à l’heure actuelle.

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