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L’Autorité de la concurrence va plus loin que Macron sur les professions réglementées.
L’Autorité de la concurrence va plus loin que Macron sur les professions réglementées.
©Reuters

Les 10 infos éco du jour

1.  L’Autorité de la concurrence va plus loin que Macron sur les professions réglementées. L’institution présidée par Bruno Lasserre a publié mardi un rapport sur les professions réglementés. Un document qui tombe en plein débat autour de la loi pour la croissance et l’activité d'Emmanuel Macron. L'Autorité se pronnonce notamment au sujet de la modernisation des professions juridiques. L’institution juge nécessaire de moderniser et d’ouvrir à la concurrence les professions de notaires, d'huissiers, de greffiers des tribunaux de commerce, d'administrateurs et mandataires judiciaires et formule 80 nouvelles propositions. Un rapport qui va donc dans le sens, voir au-delà, du projet de loi Macron examiné par la commission spéciale de l'Assemblée.

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2. A la CGT, la candidature de Martinez est rejetée mais rien n'est perdu. Le candidat  n'a pas remporté suffisament de suffrage mardi. Martinez est désormais chargé de présenter d’ici février une nouvelle proposition de bureau au "Parlement de la CGT". Celle-ci dénonçait une manœuvre illégitime dans la proposition de Philippe Martinez et son bureau, dont beaucoup étaient des proches de Thierry Lepaon.

3. Imbroglio autour de la suppression de 5000 postes chez Air France. Après l’annonce du Figaro sur la suppression de 5.000 postes, la compagnie aérienne démentirait ces informations. "Rien n'est encore décidé s'agissant d'un éventuel plan de départs volontaires, il est donc parfaitement prématuré de l'évoquer, tant sur le principe que sur son éventuelle ampleur", a expliqué un porte-parole d'Air France-KLM, interrogé par l'AFP.

4. EuroDisney bénéficie d’un plan de recapitalisation d’un milliard d’euros. L’entreprise a perdu un million de visiteurs ces deux dernières années et doit faire face à une forte dette. Ses actionnaires ont validité à quasi-unanimité mardi le plan de recapitalisation, au mécontentement de certains qui se plaignent de renflouer encore une fois l’entreprise qui ne leur rapporte aucun dividende depuis sa création.

5. Airbus enregistre plus de commandes que Boeing. Le constructeur européen annonce 1.456 commandes nettes, ce qui lui permet de double son concurrent américain qui en enregistre 1.432. Il s’agit de "résultats fantastiques" d’après les termes du PDG d’Airbus, Fabrice Brégier, alors que le groupe annonçait à peine plus de 1.000 commandes en novembre dernier.

6. Le gouvernement britannique reprend le contrôle de ses déchets nucléaires. Nuclear Management Partners (NMP), consortium constitué du français Areva, du britannique Amec et de l’américain URS avait jusqu’à mardi la responsabilité du démantèlement de Sellafield. Le plus grand site européen de déchets nucléaires pose de grandes difficultés scientifiques et environnementales dans son démantèlement.

7. Eli Lilly annonce 158 suppressions de poste en France. Lilly France, la filiale française de l’entreprise pharmaceutique américaine envisagerait de supprimer des postes de visiteurs médicaux, dû à un "contexte économique et réglementaire" difficile. L’entreprise compte actuellement 2.300 salariés dans l’Hexagone.

8. Tesla annonce un objectif de quelques millions de vente pour 2025. A l’occasion du congrès du magazine Automotive News, le patron de Tesla, Elon Musk, a fait l’apologie des voitures électriques, et tout particulièrement des siennes. Le constructeur aurait vendu 30 000 unités en 2014.

9. Blablacar part à la conquête de l’Inde. Le site de covoiturage présent dans 14 pays avait fait une levée de fond de 100 millions de dollars l’année dernière qui lui permet de continuer son développement. Sur BFM, Frédéric Mazella, le PDG, dit vouloir installer son entreprise "partout où il y a des routes et des téléphones portables », ce qui fait de l’Inde la cible parfaite.

10. "Je suis Charlie" : le dépôt de marque est refusé par l’INPI. L’institut estime que cette demande ne répond pas au « caractère distinctif », du fait de sa « large utilisation par la communauté ». L’INPI avait enregistrait plus de 50 dépôts de marque "Je suis Charlie" depuis l’attentat de mercredi dernier.

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