"Les Visiteurs 3" sont accueillis plutôt froidement par la critique <!-- --> | Atlantico.fr
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Déjà 23 ans après le succès phénoménal du premier film sorti en 1993, ce nouvel opus semble décevoir les critiques.
Déjà 23 ans après le succès phénoménal du premier film sorti en 1993, ce nouvel opus semble décevoir les critiques.
©emMarketer/Statista

Sans surprise

"L'humour et la mise en scène sont datés. Christian Clavier surjoue, Jean Reno est transparent. C'est dommage car on sent un vrai esprit de bande", confie Cathy Immelen, journaliste de la RTBF.

Si Gaumont a voulu empêcher les journalistes français de visionner en avant-première "Les Visiteurs 3" pour éviter un flot de commentaires négatifs en marge de sa sortie officielle, quelques chanceux critiques ont tout de même pu assister à une projection privée mercredi 6 avril à Paris. Déjà 23 ans après le succès phénoménal du premier film sorti en 1993, ce nouvel opus semble décevoir les critiques de manière générale, malgré certaines nuances. 

"Le film est très moyen, mais c'est loin d'être une 'daube'. Une des forces du long-métrage, c'est que les rôles secondaires le portent. À commencer par Karine Viard, Franck Dubosc, Alex Lutz ou encore Sylvie Testud. Le duo Christian Clavier/Jean Reno est un peu plus dépassé. [...] On rit moins que pour le premier film en 1993", estime Mathieu Charrier, journaliste à Europe 1  

"L'humour et la mise en scène sont datés. Christian Clavier surjoue, Jean Reno est transparent. C'est dommage car on sent un vrai esprit de bande. Seuls Karin Viard et Franck Dubosc tirent leur épingle du jeu", confie quant à elle Cathy Immelen, journaliste de la RTBF.

"Tout n'est pas frais (mais ce n'est pas le but) ni désopilant, mais ce troisième opus se révèle quand même nettement plus agréable à suivre que les deux précédents. Par la grâce de quelques rôles secondaires assez savoureux et plutôt surprenants, à commencer par Karin Viard. (...) Et puis, lorsque les sourires se figent, il reste toujours la possibilité de tenter de reconnaître les nombreux châteaux belges qui ont servi de décor au film", ironise avec chauvinisme le journaliste belge Patrick Laurent, critique pour La Dernière Heure.

Lu sur Le Figaro

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