Dans cette période de transformation profonde de notre société sous l’impulsion d’un jeune Président de la République, je vois, j’entends les crispations et les inquiétudes, mais je reste persuadé que le mouvement est une priorité. Il faut néanmoins se méfier des effets pervers des mesures proposées, tout le monde en est bien conscient, mais ceux qui ont préconisé des réformes qui ont précipité notre pays dans les difficultés ne m’apparaissent pas les mieux placés pour nous expliquer qu’il ne faut rien changer.
13 décembre 2017