Un corps démembré retrouvé à Paris : que sait-on de ce qu’il s’est passé ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Les sapeurs-pompiers de Paris ont retrouvé un cadavre démembré et calciné sous le pont d'Austerlitz - Photo AFP
Les sapeurs-pompiers de Paris ont retrouvé un cadavre démembré et calciné sous le pont d'Austerlitz - Photo AFP
©STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Enquête en cours

Les sapeurs-pompiers parisiens ont découvert un cadavre démembré à Paris, sous le pont d’Austerlitz. Il était également calciné. Une enquête a été ouverte.

Macabre surprise pour les sapeurs-pompiers parisiens. Dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 mai 2024, ils ont découvert les restes d’un individu encore non identifié, abandonné dans une valise elle-même cachée sous le pont d’Austerlitz, informe BFMTV sur son site. Ils se dirigeaient alors voie Mazas, où ils sont tombés sur poubelle enflammée et ont, naturellement mis un terme à l'incendie en cours. Comme le veut la procédure, ils ont ensuite procédé au déblayage de la zone, une opération désignée comme le “grattage” dans le jargon. C’est cette dernière qu’il leur a permis de mettre à jour la valise dans laquelle ils ont trouvé le corps démembré vers 2h du matin.

Dans le détail, et d’après une source policière, le cadavre a été amputé des deux bras ainsi que des deux jambes. Il est impossible du fait de son état (il a notamment été calciné) de dire s’il s’agit d’une femme ou d’un homme, mais des analyses sont en cours. A ses côtés, deux tiges métalliques provenant de la poignée d’une valise et un amas non identifié ont également été trouvés.

Le parquet de Paris, a fait savoir l’Agence France-Presse (AFP), a annoncé l’ouverture d’une enquête pour “meurtre”, laquelle a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de la capitale, expliquent nos confrères. Depuis, un homme a été placé en garde-à-vue pour “homicide volontaire”. Il s’est présenté de lui-même aux autorités et s’est dénoncé comme l’auteur des faits. Âgé de 34 ans, il a déclaré que la victime était un handicapé dont il était l’auxiliaire de vie. C’est en raison d’un différend qu’il l’aurait tué, a-t-il encore déclaré.

BFMTV

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