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Rachida Dati : "En ce moment, pour être médiatique, il faut trahir"
©Capture d'écran

Les réactions de la matinée

La députée européenne est revenue sur les attaques dont fait l'objet Nicolas Sarkozy, notamment François Fillon et Jean-François Copé. Voici les réactions de la matinée.

François Fillon : Le député de Paris est revenu sur l'affaire Bygmalion, qui secoue toujours les Républicains. "C'est un scandale puisque de l’argent public a disparu, et il y a des doutes sur le financement d’une campagne présidentielle. Je demande que la justice passe dans des délais raisonnables (…) Le sentiment qu’au fond c’est pas grave, ça a toujours été comme ça (...) Je considère qu’il y a un relativisme par rapport à toutes ces affaires. La conséquence de ce relativisme, c’est la montée du Front national. (...) Beaucoup de gens sont dégoûtés de la politique et ont le sentiment qu’il n’y a jamais de sanction."

Jean-François Copé : "Je serai derrière celui qui l’emporte, même si c’est Nicolas Sarkozy" affirme le maire de Meaux, qui n'a pourtant pas ménager ses critiques contre l'ancien président de la République. Sur France Info, il a d'ailleurs poursuivi ses attaques. "Si j'avais été mis en examen, je n'aurais pas été candidat parce que je sais que dans le temps où nous vivons combien cela génère des suspicions" souligne-t-il. "Il faut faire attention qu'on ne soit pas vulnérable par rapport à la question judiciaire (...) le risque c'est l'exploitation de cette situation par le Front national, par Marine Le Pen."

Rachida Dati : "En ce moment, pour être médiatique et populaire et médiatique, il faut trahir" a taclé la députée européenne sur Radio Classique. "En ce moment, un classique se remet au goût du jour le "tout sauf Nicolas Sarkozy." "Je me demande pour qui font campagne les autres candidats de droite, pour Le Pen ou pour la France ?" estime-t-elle.

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