Présidence des Républicains : Virginie Calmels décide finalement de retirer sa candidature et dénonce « une volonté délibérée » de la bloquer<!-- --> | Atlantico.fr
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Virginie Calmels a finalement décidé de renoncer à sa candidature pour la présidence du parti Les Républicains.
Virginie Calmels a finalement décidé de renoncer à sa candidature pour la présidence du parti Les Républicains.
©JOEL SAGET / AFP

LR

Virginie Calmels, qui souhaitait être candidate à la présidence du parti Les Républicains, s’est exprimée dans la matinale de France Info. Elle renonce finalement à se présenter.

L'ancienne numéro 2 des Républicains, Virginie Calmels, a finalement décidé de renoncer à sa candidature pour la présidence du parti. Elle s’est expliquée sur cette décision sur l’antenne de France Info :  

« Il y avait une volonté délibérée de me bloquer ».

Virginie Calmels renonce à sa candidature malgré la décision de justice rendue le 20 septembre qui la réintégrait à la course à la présidence, après l'invalidation « brutale » de la Haute autorité des Républicains cet été.

Virginie Calmels dénonce notamment « la méthode employée » :

« Cette décision de justice m'avait totalement empêchée de faire campagne pendant quatre semaines. C'est un peu comme si on était dans une course automobile et que les concurrents ont déjà fait dix tours et qu'on vous dit « ça y est, tu as le droit de prendre ta petite voiture et d'essayer de les rattraper ». Donc en fait, le péché originel, c'est cette invalidation à tort par la Haute Autorité ».

Virginie Calmels explique avoir constaté « beaucoup d'irrégularités » lors de cette campagne interne. Elle souhaite néanmoins ne pas commencer à se transformer « en procédurières et à faire des procès tous les quatre matins » alors que sa « candidature n'était pas la bienvenue ».

Dans la course pour la présidence LR, Virginie Calmels souhaitait « porter un projet d'une droite équidistante entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Il y a beaucoup d'électeurs de droite qui ont voté pour Emmanuel Macron, mais qui attendaient peut-être de la droite qu'elle prenne ses responsabilités pour droitiser Emmanuel Macron ».

France Info

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