L'Équateur en proie à la violence des gangs<!-- --> | Atlantico.fr
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Des soldats équatoriens patrouillent dans les rues de Cuenca, en Équateur, le 9 janvier 2024, un jour après que le président équatorien Daniel Noboa a déclaré l'état d'urgence à la suite de l'évasion de prison d'un dangereux narcotrafiquant.
Des soldats équatoriens patrouillent dans les rues de Cuenca, en Équateur, le 9 janvier 2024, un jour après que le président équatorien Daniel Noboa a déclaré l'état d'urgence à la suite de l'évasion de prison d'un dangereux narcotrafiquant.
©Fernando Machado / AFP

Conflit armé interne

Le président de l'Equateur Daniel Noboa a déclaré mardi son pays en état de "conflit armé interne" et ordonné la "neutralisation" des groupes criminels impliqués dans le narcotrafic.

L'état d'urgence a été décrété en Équateur. Et son président Daniel Noboa a reconnu "l'existence d'un conflit armé interne" et ordonné la "neutralisation" des groupes criminels impliqués dans le narcotrafic. Il a fourni une liste exhaustive, tout en soulignant la nécessité pour les forces armées d'agir "dans le respect des droits de l'Homme". Dans un décret, le chef d'Etat réclame également "la mobilisation et l'intervention des forces armées et de la police nationale (...) pour garantir la souveraineté et l'intégrité nationale contre le crime organisé, les organisations terroristes et les belligérants non-étatiques".

Dernier et spectaculaire épisode, des hommes armés ont fait irruption, ce mardi après-midi, sur le plateau d'une télévision publique à Guayaquil, prenant brièvement en otage journalistes et des employés de la chaîne.

La Dépêche

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