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Femmes en politique,
le poids des réseaux
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Parité

Les femmes de pouvoir comprennent de plus en plus l'utilité des réseaux pour se faire une place en politique.

Il ne suffit pas d'une loi sur la parité pour faire une place aux femmes dans la classe politique française. Terra Femina s'est intéressée à l'importance croissante des réseaux féminins : think tanks, cercles plus ou moins informels, associations... 

Les initiatives sont diverses. Certaines s'apparentent à du lobbying, comme le club politique non partisan Future au féminin, créé par la jeune Lydia Guirous, qui agit pour la promotion des femmes.

D'autres luttent au sein même de leur parti politique. C'est le cas de Femmes au Centre, qui tentent de faire bouger le Nouveau Centre d'Hervé Morin, ou des pionnières du Courant G, Yvette Roudy et Françoise Gaspard, qui créèrent un courant féminin au PS dès 1979.

Enfin, des associations tentent de remédier au manque d'intérêt des filles pour la chose publique. C'est le cas de Res Femina, qui dès 18 ans entraîne les jeunes à prendre la parole en public et à participer à des débats politiques.

Terra Femina note que ces différentes organisations ne revendiquent plus un féminisme à l'ancienne, mais qu'elles jouent plutôt la carte de la modération dans leurs propositions : pour le vrai respect de la parité en 2012, contre le cumul des mandats.

Lu sur Terra Femina

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