Des élus de Polynésie reçus en Azerbaïdjan pour préparer la « décolonisation » du territoire français<!-- --> | Atlantico.fr
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L’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris souligne que «ce n'est pas le gouvernement qui est à l'initiative de cette conférence», invoquant la «séparation des pouvoirs».
L’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris souligne que «ce n'est pas le gouvernement qui est à l'initiative de cette conférence», invoquant la «séparation des pouvoirs».
©TOFIK BABAYEV / AFP

Polémique

Le Parlement de l’État autocrate du Caucase, accusé par le gouvernement français d’ingérences dans la crise en Nouvelle-Calédonie, accueille ce jeudi des élus polynésiens pour discuter des «défis et perspectives» de ce territoire d’outre-mer.

Alors que le gouvernement français a accusé l’État autocrate du Caucase d’ingérence dans les émeutes qui ont secoué la Nouvelle-Calédonie ces deux dernières semaines, le Parlement à Bakou a invité ce jeudi des élus polynésiens pour une conférence sur la «décolonisation» de leur territoire. La réunion, intitulée «Droit de la Polynésie française à la décolonisation : défis et perspectives», doit réunir notamment les chefs de commission et les secrétaires du Parlement de Polynésie française, ainsi que les dirigeants du parti au pouvoir, Tavini Huira'atirak, indique l’agence de presse officielle azérie.

L’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris souligne que «ce n'est pas le gouvernement qui est à l'initiative de cette conférence», invoquant la «séparation des pouvoirs». «Lorsqu'au Sénat des élus LR reçoivent des représentants arméniens séparatistes (qualificatif utilisé par l’Azerbaïdjan pour désigner les autorités du Haut-Karabagh, territoire arménien reconquis par Bakou en septembre dernier, ndlr), ce n'est pas le gouvernement français qui les reçoit, donc l’Azerbaïdjan ne voit en rien une quelconque ingérence dans ses affaires intérieures».

Le Figaro

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