Covid-19 : dans les TGV, plus il y a de monde, plus le niveau de C02 est élevé et plus le risque de contamination augmente<!-- --> | Atlantico.fr
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Capteur de CO2
Capteur de CO2
©Capture d'écran France Info

Coronavirus

Quand l'air est insuffisamment renouvelé, plus il y a de CO2 et donc plus le risque de contamination au Covid-19 est élevé si une personne positive est présente

"Nous avons sorti notre capteur lors de trajets en train, notamment lors d'un aller-retour entre Paris et Quimper (Finistère), soit un voyage d'un peu moins de quatre heures. Le premier constat, trivial, est que le niveau de CO2 dépend du nombre de personnes à bord : plus le train est proche de Paris, plus il est chargé. Ainsi, lors du trajet de Paris à Quimper, le niveau de dioxyde de carbone a continuellement baissé au fil des arrêts entre Rennes et le Finistère, alors que les rames se vidaient progressivement" explique France Info (qui a aussi fait des mesures dans le métro et le RER).

"Un second constat est frappant : on observe des pics inédits de CO2 pendant plusieurs dizaines de minutes. Juste après l'arrêt à Rennes, alors que la ventilation semble s'être coupée, la courbe passe au-dessus des 3 000 de 21h50 à 22h06, avec un impressionnant pic à 4 457 ppm. Au bout d'une vingtaine de minutes, la ventilation se remet en route, et le niveau de CO2 redescend brutalement, pour osciller tout de même entre 1 500 et 2 000 pendant le reste du trajet" ajoute France Info.

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