Les présidentielles sont toujours l'occasion de dessiner les rapports de force politiques majeurs dans le pays : le rapport gauche-droite, mais aussi la permanence de courants plus extrêmes comme le FN ou le Front de gauche.
2 avril 2013Le Réseau Atlantico
Best-Of du 30 novembre au 6 décembre
Michel Bussi est professeur de géographie à Rouen. Il dirige l’UMR CNRS IDEES (Rouen, Caen, Le Havre). Il a notamment publié (avec Céline Colange et Jean Rivière) « Distance(s) à la ville et comportements électoraux. Quelques éclairages quantitatifs lors des derniers scrutins présidentiels », dans Marie-Flore Mattéi, Denise Pumain (dir.), Données urbaines 6, Paris, Anthropos, 2011, p. 33-42. Ses recherches portent sur la géographie politique de la démocratie et des élections.
Jérôme Fourquet est directeur du département opinion publique de l’Ifop. Il a notamment publié : « L’érosion électorale du lepénisme », dans Pascal Perrineau (dir.), Le vote de rupture. Les élections présidentielle et législatives d’avril-juin 2007, Paris, Presses de Sciences Po, 2008, p. 213-234 ; (avec Michel Bussi) « Neuf cartes pour comprendre l’élection présidentielles de 2007 », dans « L’élection présidentielle de 2007, premiers aperçus », Revue française de science politique, 57 (3-4), juin-août 2007, p. 411-428. Ses travaux portent notamment sur la géographie électorale et sur le vote FN.
Céline Colange est ingénieur de recherche CNRS au sein de l’UMR IDEES. Elle a soutenu une thèse de géographie électorale et pilote le volet cartographie du programme ANR-FEDER Cartelec. Elle a notamment publié (avec Jérôme Fourquet et Michel Bussi) « Les élections présidentielles de 2012 : du quinquennat à la fabrication d’une France pentapolaire », Cybergéo. Revue européenne de géographie, 2012.
Les présidentielles sont toujours l'occasion de dessiner les rapports de force politiques majeurs dans le pays : le rapport gauche-droite, mais aussi la permanence de courants plus extrêmes comme le FN ou le Front de gauche.
2 avril 2013