Une curiosité volante : le GloW, un peu jet, un peu électrique ; Une "nouvelle étoile" brille dans la constellation du Sagittaire<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Science
Une curiosité volante : le GloW, un peu jet, un peu électrique ; Une "nouvelle étoile" brille dans la constellation du Sagittaire
©

Atlantico Sciences

Mais aussi : Nanotechnologies : la « chimie clic » ouvre des perspectives nouvelles ; En Guyane, l'expédition La planète revisitée révèle une biodiversité étonnante ; Le plus grand cratère d'impact d'astéroïde a-t-il été découvert en Australie ?

Futura Sciences

Futura Sciences

Magazine online de la découverte, de la science et de l’innovation, Futura-Sciences propose à ses lecteurs un contenu mis à jour en permanence et richement illustré.

Voir la bio »

Une curiosité volante : le GloW, un peu jet, un peu électrique

Une entreprise anglaise, ProAirsport, finalise le prototype du GloW, un motoplaneur muni d’un petit réacteur. Pour rouler au sol et pour décoller, il utilise un moteur électrique entraînant les roues du train d’atterrissage. Un concept original mais qui, sur le papier, se justifie. Premier vol promis en octobre, nous explique Roger Harley, directeur de l’entreprise.

L’engin ressemble à un planeur, avec de longues ailes fines (13,5 m d’envergure) pour un engin de 6,30 m du nez à la queue. Il est étroit, monoplace et ne pèse que 180 kg à vide. Pourtant, c’est un motoplaneur mais il n’y a pas d’hélice, seulement deux ouvertures dorsales derrière la verrière, abritant… un réacteur. Le concept n’est pas complètement nouveau. La contrainte de décoller tiré par un avion ou par un treuil a depuis longtemps conduit au motoplaneur, muni d’un moteur modeste mais suffisant pour quitter le plancher des vaches, et même, en vol, pour rentrer à la maison quand les ascendances viennent à faire cruellement défaut.

Lire la suite sur Futura Sciences

Une « nouvelle étoile » brille dans la constellation du Sagittaire

La nova qu’a découverte l’Australien John Seach, le 15 mars, au sein de la constellation du Sagittaire était devenue visible à l’œil nu le 21 mars dernier. Il est encore possible de l’observer aux jumelles à condition de se rendre en fin de nuit sur un site de préférence dénué de pollution lumineuse.

Une « nouvelle étoile » a été découverte le 15 mars 2015 par l’astronome australien John Seach. Ce « chasseur de nova » n’en est pas à son coup d’essai. On lui doit en effet d’avoir débusqué Nova Centauri 2013 qui, comme son nom l’indique, brillait au sein de la constellation australe du Centaure. En décembre 2013, l’astre était alors devenu temporairement visible à l’œil nu, aux côtés d’Alpha et Beta Centauri. La dernière en date, qui a pu être observée sous nos latitudes sans instruments, fut Nova Delphini 2013. Au cours du mois d’août 2013, sa magnitude avait culminé à + 4.3.

Lire la suite sur Futura Sciences

Nanotechnologies : la « chimie clic » ouvre des perspectives nouvelles

La chimie clic a pour objectif de trouver des méthodes simples, rapides et flexibles pour clipser des molécules entre elles par l’intermédiaire de liens robustes. Des chercheurs polonais ont réussi à appliquer cette même méthode à une échelle plus grande, pour fixer des nanoparticules d’or à un substrat solide de carbone.

La chimie clic est une méthode relativement récente de la chimie de synthèse. Elle met à contribution des « boutons pression » chimiques pour lier de petits modules moléculaires et constituer des structures sur mesure de manière rapide et efficace. Cette méthode était jusqu’alors utilisée principalement pour la synthèse de composés organiques complexes. Des chercheurs de l’institut de Chimie physique de l’académie polonaise des Sciences (IPC PAS) de Varsovie sont parvenus à appliquer le principe de la chimie clic à des nanoparticules d’or qu’ils ont ainsi fixées sur un substrat de carbone vitreux.

Lire la suite sur Futura Sciences

En Guyane, l'expédition La planète revisitée révèle une biodiversité étonnante

Après le Vanuatu, le Mozambique, Madagascar et la Papouasie-Nouvelle Guinée, l'expédition La planète revisitée explore la Guyane pour en inventorier la richesse biologique. L'échantillonnage marin se termine sur le constat d'une biodiversité bien plus riche que prévu et que nous découvrons en compagnie de Philippe Bouchet, du MNHN. Le volet terrestre de cette expédition scientifique, en forêt équatoriale, lui, touche à sa fin.

Parce qu'on la pensait pauvre, elle attirait peu l'attention. Aspirée il y a peu par les suceuses des scientifiques, lors du volet marin de l'expédition La planète revisitée, organisée par le Muséum national d’histoire naturelle et l'ONG Pro-Natura International, la biodiversité marine de la Guyane afficherait en fait un intérêt faunistique et floristique certains. Pourquoi une telle sous-estimation ? Sans doute parce que, de l’Orénoque, au nord, à l’Amazone, au sud, l'environnement marin de la région des deux Guyane est par une faible diversité d'habitats, composés globalement d'un substrat vaseux, d'une forte turbidité de l'eau de mer et de son dessalement via les estuaires des fleuves.

Lire la suite sur Futura Sciences

Le plus grand cratère d'impact d'astéroïde a-t-il été découvert en Australie ?

Enfouies sous plusieurs kilomètres de sédiments, deux structures identifiées en Australie pourraient bien être la trace laissée par un double impact d'astéroïde il y a des centaines de millions d'années. Si tel est bien le cas, avec un diamètre de 400 km, il s'agirait du plus grand cratère d'impact connu sur Terre. À l'époque, la chute d'un astéroïde d'une telle ampleur aurait dû engendrer une crise biologique majeure. Problème : selon la datation de l'impact, l'événement aurait eu lieu à une période qui ne comporte pourtant aucune extinction massive connue.

Avec le Canada, l’Australie est un paradis pour les passionnés de cratères d’impacts d’astéroïdes. Un groupe de géologues mené par l’Australien Andrew Glikson vient de le confirmer en publiant un article dans Tectonophysics qui annonce la découverte probable du plus grand cratère d’impact connu. Le précédent record était détenu par l’astroblème de Vredefort, en Afrique du Sud. On estime son diamètre à 300 km et son âge à deux milliards d’années environ. Dans le cas de la structure découverte dans le bassin de la rivière Warburton, situé en Australie-Méridionale, on serait en présence d’une structure de 400 km de diamètre. Il ne s’agirait cependant pas d’un unique cratère d’impact mais bien de deux cratères, larges de 200 km chacun environ, qui se seraient formés simultanément en raison de la fragmentation d’un astéroïde.

Lire la suite sur Futura Sciences

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !