Le Point a trouvé « plus fort que la Gauche caviar, Les bourgeois mélenchonistes », l’Obs enquête sur « la conquête silencieuse » du RN, l’Express tacle fait le portrait du « vrai Dussopt »...<!-- --> | Atlantico.fr
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Les bourgeois mélenchonistes », L’Obs enquête sur « la conquête silencieuse » du RN, L’Express tacle fait le portrait du « vrai Dussopt ».
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Revue de presse des hebdos

Et aussi : Valeurs Actuelles consacre sa couverture au « Scandale Palmade », sexe, drogue et décadence…

Anita Hausser

Anita Hausser

Anita Hausser, journaliste, est éditorialiste à Atlantico, et offre à ses lecteurs un décryptage des coulisses de la politique française et internationale. Elle a notamment publié Sarkozy, itinéraire d'une ambition (Editions l'Archipel, 2003). Elle a également réalisé les documentaires Femme députée, un homme comme les autres ? (2014) et Bruno Le Maire, l'Affranchi (2015). 

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Jean-Luc  Mélenchon, les deux pouces levés en signe de satisfecit est en couverture du Point qui décrypte le phénomène des nouveaux bobos, les « boluches » :

« Il y a des signes qui ne trompent pas : de manière systématique, Jean-Luc Mélenchon a enregistré ses meilleurs scores électoraux parisiens de 2022 dans les arrondissements qui se sont le plus enrichis ces dix dernières années. Dans le 11 e arrondissement –souvent considéré comme le cœur battant de la gentrification –, les données de la Direction générale des finances publiques sont formelles : pendant que la proportion de ménages imposés sur la tranche maximale de l’impôt sur le revenu y augmentait de 87 %, le score de Mélenchon à la présidentielle y explosait : 14 % en 2012, puis 24 % en 2017 et enfin 36 % en 2022… Même scénario dans le 19 e arrondissement, ancien bastion du PS, où l’on constate une corrélation très nette entre gentrification immobilière galopante et mélenchonisation électorale. 

Entre la présidentielle de 2017 et celle de 2022, Jean-Luc Mélenchon a progressé de 5 points auprès des cadres et professions intellectuelles supérieures et de 10 points dans les villes universitaires ; mais son électorat demeure pourtant assez varié, « interclassiste », disent les sondeurs. « On notera à ce propos que l’Insoumis revendiquant un héritage marxiste, marqué par la grille de lecture de la lutte des classes, est le candidat présentant l’électorat le moins clivé sociologiquement », relevait Jérôme Fourquet dans « L’archipel électoral mélenchoniste », un article publié au lendemain de la dernière présidentielle. 

En dix ans et trois présidentielles, le candidat Insoumis a opéré l’union d’un électorat diplômé des centres-villes avec celui des classes populaires des banlieues….

….rien ne vaut la défense d’idées révolutionnaires pour mieux conserver ses privilèges, et tant pis s’il faut renoncer à des idéaux historiques de gauche (République, laïcité, égalité des chances) pour rester du bon côté de l’époque. Car cette radicalité n’apporte aucun inconfort à ceux qui en font la promotion, elle n’interdit ni le mode de vie bourgeois – on peut tout à fait tweeter contre le capitalisme sur son iPhone dernier cri – ni la conscience de classe ou le sentiment d’appartenir à une élite. « Les étudiants de Sciences Po donnent le sentiment d’avoir perdu foi dans l’idéal méritocratique , mais ils ne se déclarent pas pour autant prêts à renoncer à leur statut élitaire, analyse Olivier Galland, spécialiste des mécanismes de la radicalité et auteur de 20 Ans, le bel âge ? (Nathan). On a le sentiment qu’ils cherchent à expier leur péché d’appartenance sociale au moyen d’un surcroît de radicalité. C’est une vieille tradition : les plus radicaux à l’extrême gauche sont souvent des jeunes de l’élite universitaire qui s’assignent la mission de sauver le peuple. » Malgré lui. 

Le Point s’est rendu dans un bastion de la gauche culturelle, à l'université de Rennes 2 Le Mag constate : « des étudiants attirés par la radicalité,  des intellectuels fascinés par l’ action directe. La  France qui fait profession de penser semble renouer avec les schémas des années 70 comme si la mort des idéologies proclamée après la chute du bloc soviétique n'avait été qu'une parenthèse » . D’après les sondages d'opinion réalisés à l'institut d'études politiques de Lyon de Grenoble , on note « une bascule spectaculaire.  Entre 2012 et 2022 la proportion des étudiants qui se disent de gauche est stable 41% . La fraction de droite  recule à peine  ( de 7à 6%). En revanche, les « très à gauche » triplent, de 9 à 30 %, alors que le centre s’effondre (de 34 à 13 %).Et pour compléter le tableau le mag a interviewé Daniel Cohn-Bendit qui ne cache pas son aversion pourle fondateur de la France Insoumise : « Je déteste ce genre d’homme politique parce qu’il n’a aucune empathie pour les gens, tout tourne autour de sa personne. Il se voit comme un Lider Maximo. Autour de lui, je retrouve les profils de doux rêveurs intellectuels. Les gens suivent leurs envies sans comprendre, sans vouloir comprendre qui il est vraiment. La méchanceté en politique me révolte toujours. J’en ai marre de cela. Moi, j’ai joué avec l’ironie, jamais avec la méchanceté…

 Si vous aviez 20 ans aujourd’hui, vous ne seriez pas mélenchoniste ? 

Certainement pas. À 20 ans, je n’ai pas rejoint les trotskistes ou les maoïstes. Je comprends cette envie de combattre le capitalisme tel qu’il fonctionne aujourd’hui. Mais ne pas voir que Mélenchon défend une vision illibérale comme Orban ou le régime du Venezuela, c’est fou !

Le Rassemblement National s’installe

L’Obs parle de « Conquête silencieuse » : le Rassemblement National est bien installé à l’Assemblée Nationale ; il veut maintenant conquérir « les territoires ». Le magazine revient sur la normalisation du parti de Marine Le Pen, ce que d’aucuns qualifient de « stratégie de la cravate ». Dans l’immédiat Marine Le Pen est surtout servi e par la bataille des retraites : «   Ses adversaires le disent. Laurent Berger à la CFDT, l’ex-ministre socialiste Marisol Touraine, des macronistes sous cape, tous craignent que le report de l’âge légal de la retraite, massivement rejeté, ne donne à nouveau du carburant à l’extrême droite. Ils redoutent déjà que le ressentiment, la colère ou la frustration suscités par la réforme ne se traduisent demain dans les urnes. Que les classes moyennes qui résistaient au discours de Le Pen ne l’écoutent différemment. Quand bien même celle-ci a changé de pied sur le sujet pendant sa campagne, passant des 60 ans pour tous aux 62 pour certains, se contredit aujourd’hui sur la suppression des régimes spéciaux et n’a pas sa place dans les cortèges. Selon un sondage BVA-RTL, elle tire son épingle du jeu : après les syndicats, le RN est le premier parti à bénéficier d’une bonne image dans ce mouvement social. « Pour elle, tout est pétrole », se désole un député socialiste. Du « peut-elle gagner ? » qui agitait les esprits pendant la dernière présidentielle, le monde politique est passé à une autre interrogation, plus vertigineuse : peut-elle perdre ?

Même le quotidien britannique «  The Times » en fait la favorite pour 2027. Dans les rangs macronistes, l’idée que la déjà triple candidate à l’élection suprême incarnerait « l’alternance » – c’est le nouveau slogan du RN – en cas d’échec du quinquennat est admise par tous. L’une des fondatrices d’En Marche et députée Renaissance, Astrid Panosyan-Bouvet, agite le spectre du scénario américain : la victoire de Trump après deux mandats d’Obama. Elle craint de voir la fille de Jean-Marie Le Pen incarner une forme de « dégagisme rassurant », comme Emmanuel Macron avait su le faire en 2017.

Après sa défaite au second tour en avril dernier, Marine Le Pen a pourtant douté. Pas longtemps. Sa candidature en 2027 est une quasi-certitude. Tout a changé le soir des élections législatives, en juin. Quatre-vingt-huit députés élus, soit autant de nouveaux soldats du marinisme qui appliquent scrupuleusement une même ligne de conduite : se banaliser, effacer les mots qui choquent, gagner en respectabilité et en crédibilité…. En Gironde, en Charente, en Moselle, ces soldats du marinisme appliquent méthodiquement la stratégie de respectabilité de leur patronne. Et préparent déjà les prochaines élections ….

 Au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen est arrivée en tête dans plus de 20 000 communes, essentiellement rurales, sur environ 36 000. Et le calendrierélectoral est « plutôt favorable », analyse l’état-major du RN, qui rêve déjà de transformer les municipales de 2026 en « rampe de lancement » de la probable quatrième candidature présidentielle de Marine Le Pen. Pour cela, son entourage entend s’appuyer sur les « exemples positifs » d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Beaucaire (Gard), Hayange (Moselle) ou Fréjus (Var), où les maires RN ont été réélus dès le premier tour, en 2020. Aussi sur « le modèle Perpignan » : dans les Pyrénées-Orientales, la plus grande commune gérée par le RN a fait figure de locomotive .

…Ils ( les députés RN ),ont déjà gagné, en à peine quelques mois, leurs galons d’opposants studieux et crédibles. Sur le terrain, ils se déclinent en ambassadeurs du « bon sens », face à la déconnexion des « élites » et d’Emmanuel Macron, qui s’acharne à faire passer une réforme des retraites dont les Français, en majorité, ne veulent pas. « La caricature dont nous souffrions était tellement extrême qu’aujourd’hui le bénéfice que nous en tirons est démultiplié », juge-t-elle.

La semaine, studieuse à Paris, devant les caméras et sur les bancs du Palais-Bourbon, et le week-end en « circo », à arpenter méthodiquement les places de villages et les banquets, leur écharpe tricolore bien en vue. Des frontistes « notabilisés », en chair et en os, qui font la bise et à qui on peut serrer la main sans crainte d’être montré du doigt. « Dans les petites villes semi-rurales, il y aura un attachement à ces élus. Ça personnalise, vous ne pouvez plus dire seulement “c’est un facho !” », s’inquiète l’ancien président François Hollande.

Olivier Dussopt, cet inconnu

L’Express a recueilli les confidences d’Olivier Dussopt, et de ses proches  au lendemain de la clôture des débats sur la réforme des retraites .et cela donne un portrait intitulé «  Qui êtes vous Monsieur Dussopt ? »

D’abord un miraculé : « A l’été 2018, en vacances en Italie, Dussopt à la bonne idée de quitter l’autoroute vers Gênes au dernier péage juste avant d’emprunter le pont Morandi. Quatre minutes plus tard, celui-ci s’effondrait. » Ce politique chevronné  « a été frappé par les débats dans l’hémicycle, les parlementaires de La France insoumise qui "parlent de tombe, de crever au travail, qui ont la bave aux lèvres et la mort à la bouche". Ses proches le disent marqué dans sa chair par les provocations, le ballon à son effigie écrasé par le pied de Thomas Portes et, surtout, l’envolée d’Aurélien Saintoul le qualifiant d’"assassin". Dussopt est personnellement et profondément ébranlé. Ça, ce n’est pas passé : « Je n'aurais jamais imaginé qu'on franchisse une telle limite », dit-il….

…Le ressentiment ( ndlr contre ses anciens camarades du PS )est tenace. Politique, lorsqu’il les voit embrasser les combats et rhétoriques mélenchonistes. Personnel, aussi, on l’aura compris. Lui a fait son trou seul dans son Ardèche natale, a traversé le quinquennat Hollande en bon élève, loin des frondeurs… Il a été récompensé en se faisant éjecter, à la dernière minute, d’une liste gouvernementale en phase de finalisation. Question d’équilibres, Olivier. Peut-être la prochaine fois. Désolé. ….Il n’a pas pardonné. Il ne pardonnera jamais. "Ma grande qualité, c’est que j’ai de la mémoire. Mon grand défaut, c’est que je suis très rancunier. On n’est pas amis pour rien avec Edouard", glisse-t-il en souriant de toutes ses dents. Ce sourire qu’il a toujours un peu gêné. Presque enfantin. Edouard ? Edouard Philippe, bien sûr. Ce Premier ministre qui a su le séduire en 2018 et avec lequel il a tissé des liens jamais rompus, malgré les relations tumultueuses entre l’ex de Matignon et Emmanuel Macron. Le maire du Havre s’est, bien entendu, fendu d’un texto de soutien après l’épisode. Un message "très enthousiaste", donc aussi drôle que grossier. Trop, en tout cas, pour avoir la permission d’en juger « …..(ndlr ; dommage ! )…. Il est de ceux qui bouillent à l’intérieur, trahis par une bouille qui rougit à l’extérieur.

"Certains, naïvement, ont pensé que c’était un mou, un veule, que c’était un mec qui se couchait… Ils sont tous tombés sur un os, et un gros, lâche, grand sourire narquois dans la voix, un intime du président de la République. Quand vous êtes capable d’avoir une explication de gravure avec Elisabeth Borne, c’est qu’il ne faut pas venir vous emmerder." La rancune et l’orgueil sont souvent bons camarades ; chez Olivier Dussopt, ces sentiments sont frères jumeaux et ne connaissent pas de trêve. Une bonne semaine avant celle des confiseurs, la Première ministre en a fait les frais. "Il n’y a rien de pire qu’une bête blessée", disait-il à propos des insultes des Insoumis, cela vaut aussi quand le chasseur se trouve être le chef du gouvernement. Le 12 décembre, lors de la session plénière du Conseil national de la Refondation, Emmanuel Macron annonce, à la surprise générale, que la présentation de la réforme des retraites, prévue trois jours plus tard, est repoussée d’un mois, quitte à laisser penser que l’exécutif patine dans la semoule. Dès le lendemain, le matinal ministre du Travail voir fleurir sur son bureau des articles de presse qui le plongent dans la milliseconde dans une colère noire. Il y lit que la locataire de Matignon serait mécontente de la manière avec laquelle il a mené les négociations avec les partenaires sociaux, qu’elle préfère mettre elle-même les mains dans le cambouis pour parvenir, enfin, à des résultats. Dussopt a la désagréable sensation que sa hiérarchie lui marche sur les pieds en même temps qu’elle lui met la tête sous l’eau. Attention, corde sensible touchée. Il n’est pas un ministre de seconde zone. De loyal à lavette, il y a un pas qu’il ne compte pas franchir. "Il a fallu le calmer, se remémore l’un des confidents de l’Ardéchois. Borne a tapé ce teigneux là où il ne fallait pas : sur sa force de travail et sa capacité à gérer des dossiers." Dussopt dégaine son colt et tire deux balles. L’un est pour le cabinet de la Première ministre, auquel il indique, on ne peut plus clairement, qu’il ne veut plus voir son nom apparaître dans les colonnes des journaux. L’autre est pour Elisabeth Borne, qui prend une soufflante à l’autre bout du combiné : "Il lui a directement fait savoir que si elle continuait à le prendre pour un co…, lui aussi savait se défendre en utilisant les journalistes", rapporte un ami fidèle. Emmanuel Macron, mis au jus de la bisbille par son entourage, prend fait et cause pour l’outragé. Fin de la récré. Depuis cette histoire, on nous assure que Borne et Dussopt s’entendent comme larrons en foire. Mais depuis cinq ans, à intervalles irréguliers, le second préfère parfois préciser : "Moi, je n’ai qu’un seul chef." Et celui-ci est à l’Elysée.

La marée blanche …. de cocaïne

En marge du scandale Palmade, Valeurs actuelles se préoccupe de « la marée blanche » de cocaïne qui déferle  sur la France, qui, avec «  quelque 600.000 consommateurs réguliers,  se place au 5e rang mondial en termes de demande… »  Le mag  explique  que « le port du Havre est devenu en quelques années une des principales portes d'entrée en Europe derrière Rotterdam et Anvers. Le déferlement de la poudre blanche se mesure au gré des saisies : 17 tonnes l'année dernière contre 11 en 2021.  Quelque 3 millions de conteneurs colorés selon les pays de provenance y affluent chaque année. A  peine 1% seront passées au crible de rayons X. La faute à la concurrence des grands ports européens désormais automatisés imposant aux Havre leur cadence frénétique pour maintenir sa compétitivité »…  Les prix  de la cocaïne ont baissé : « dans les années quatre-vingt-dix le grammes se vendait plusieurs centaines d'euros, aujourd'hui il se monnaye entre soixante et quatre-vingt-onze euros. Quant aux boulettes d’un demi-gramme, elles  sont accessibles pour une vingtaine d’euros et font florès au sein de la jeunesse…. La cocaïne ne se  cantonne plus au milieu des paillettes et du showbiz… Un policier de De la brigade stups cité par V.A  pense que «  la France pourrait devenir «  un narco-Etat, comme le sont devenus les Pays-Bas… « Face à une réponse Policière et pénale peu adaptée, l'équilibre de la terreur est en faveur de ces groupes de plus en plus violents et puissants financièrement. Ils peuvent acheter le monde »

Ruban rouge pour Jeff Bezos

Emmanuel Macron qui vient de faire Grand Croix de la Légion d’Honneur l’ancien Premier Ministre Jean Pierre Raffarin, a récemment  remis les insignes de la Légion d’Honneur  au fondateur d’Amazon Jeff Bezos , 4e fortune mondiale (111,3 milliards de dollars fin 2022), de passage à Paris »,  révèle Le Point qui parle d’une « cérémonie fastueuse mais confidentielle ». « L’événement, prévu depuis plusieurs semaines, ne figurait pas à l’agenda officiel et n’a été suivi d’aucun communiqué. L’Élysée avait-il peur d’un fâcheux télescopage le jour (- le 16 février), où des milliers de manifestants défilaient contre la réforme des retraites ? » s’interroge le mag qui précise que «  seuls quelques invités triés sur le volet ont assisté à la réception. Beau joueur, le fondateur d’Amazon avait convié le patron de LVMH, Bernard Arnault, qui le devance désormais (1er, selon Forbes, avec 184,7 milliards de dollars)

Les sept erreurs d’Oxfam

L’Express qui dénonce «  la démagogie anti-milliardaires  »note qu’ une forme de détestation des riches est en train de se répandre dans l'opinion publique . Le mag s’appuie notamment sur le dernier rapport de l’Ong OXFAM ( dont la branche française est dirigée par l’ancienne ministre Cécile Duflot), qui publie généralement son étude au moment du Forum de Davos : « Dans son dernier rapport sobrement intitulé « Oxfam affirme qu’au cours des deux dernières années, les 1 % les plus riches ont capté près des deux tiers de toutes les nouvelles richesses, que les inégalités ont « explosé » et que, par conséquent, il est « indispensable de taxer les personnes riches ». Afin de satisfaire sa "richophobie", Oxfam triture les faits et les données. Si bien qu’une lecture attentive du rapport révèle que la richesse est mal définie, les riches sont mal identifiés et les solutions proposées sont inopérantes ». La preuve en sept erreurs, argumentées  par une dizaine d’économistes chevronnés…et qui concluent : «  En résumé, ces erreurs révèlent trois faits saillants : dans le rapport Oxfam, la richesse n’est pas correctement définie, les pauvres sont mal identifiés et les solutions proposées sont inopérantes. Une fois déduction faite de ces éléments, que reste-t-il du rapport Oxfam ? De belles affirmations idéologiques.

Castex candidat

Challenges parle de «  petite musique » que l’on entend beaucoup ces temps ci dans la sphère politique : «  le moment venu Emmanuel Macron choisira Jean Castex pour lui succéder plutôt qu’Edouard Philippe »…

Valeurs Actuelles note que «  Ruffin y pense » ( pour succéder à Mélenchon)…

Et à Washington,  Joe Biden est prêt à rempiler !

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