Atlantico Sciences
La Terre a accéléré sa rotation en 2020 ; Nasa : la première femme qui marchera sur la Lune est l'une d'elles
Et aussi : Des polarons ont été observés pour la première fois ; C'est ici que serait mort Jean le Baptiste il y a 2.000 ans ; Inédit : deux satellites en un pour arriver autour de Mars et revenir sur Terre
Des polarons ont été observés pour la première fois
Pour la première fois, des physiciens ont pu observer comment se forment et évoluent des polarons. Des polarons ? Ce sont des distorsions fugaces dans le réseau atomique d'un matériau et qui apparaissent en parallèle des déplacements d'électrons. Des distorsions qui pourraient expliquer l'efficacité des pérovskites comme matériaux pour les cellules solaires.
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La Terre a accéléré sa rotation en 2020 !
En 2020, pour la première fois depuis le début des mesures il y a 50 ans, la Terre a tourné plus vite qu'à son habitude. En les scientifiques prévoient qu'il en sera de même en 2021. Aurons-nous recours à une seconde intercalaire pour réajuster le temps ? La question est posée.
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Nasa : la première femme qui marchera sur la Lune est l'une d'elles
Il y a plus de 50 ans maintenant que les Hommes n'ont pas posé le pied sur la Lune. L'objectif de la Nasa est de rééditer l'exploit d'ici 2024. L'Agence spatiale américaine s'est engagée à ce que le premier à remarcher sur la Lune soit... une première ! Une femme qui sera choisie parmi les neuf sélectionnées que nous vous présentons ici.
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C'est ici que serait mort Jean le Baptiste il y a 2.000 ans
Qui a fait tuer Jean le Baptiste ? S'agissait-il du roi Hérode Antipas, inquiet face à la montée de son influence ? Ou de la reine Hérodiade, répudiée par le prêcheur ? Si les textes historiques et religieux s'opposent, l'archéologie pourrait, elle, offrir un élément de réponse.
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Inédit : deux satellites en un pour arriver autour de Mars et revenir sur Terre
La complexité de la tâche et la spécificité de la mission de retour d'échantillons martiens ont contraint l'ESA, Airbus et Thales Alenia Space à élaborer le satellite ERO, qui rapportera les échantillons sur Terre, dans une architecture inhabituelle. Plutôt que de construire un satellite qui emportera tout le carburant indispensable à sa mission, il a été nécessaire d'en concevoir un qui sera composé de deux modules, dont un servira uniquement à mettre en orbite le satellite ERO autour de Mars. Voici les explications de Mauro Patroncini, responsable du programme ERO-IOM chez Thales Alenia Space.
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