Ukraine, le point : des corps de civils dans les rues de villages et de villes après le retrait des forces russes près de Kiev<!-- --> | Atlantico.fr
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Char russe
Char russe
©Konstantin Mihalchevskiy / AFP

Guerre

L'armée russe est accusée de tortures et de centaines de meurtres de civils

Cela fait maintenant 40 jours que la guerre a éclaté en Ukraine. Ce lundi, les négociateurs russes et ukrainiens se mettront à nouveau autour de la table pour tenter de trouver un accord permettant de mettre fin au conflit notent Les Echos.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé dimanche les dirigeants russes de « tortures » et de « meurtres » après la découverte à Boutcha, dans la région de Kiev, de fosses communes et de centaines de corps de civils. Moscou a démenti avoir tué des civils. Le ministère de la défense russe a affirmé que les images de cadavres dans les rues de la ville étaient « une nouvelle production du régime de Kiev pour les médias occidentaux » écrit Le Monde.

«Il y a des indices très clairs de crimes de guerre», a déclaré Emmanuel Macron, lundi matin sur France Inter.  

Avant d’abandonner la banlieue de Kiev, les troupes russes ont assassiné et brûlé des civils qui fuyaient. Ils ont aussi dissimulé des pièges dans les cadavres raconte l'envoyée spéciale du Figaro à Irpin.

Alors que les troupes ukrainiennes et la communauté internationale ont découvert des centaines de victimes dans les villes évacuées par la Russie, au nord de Kiev, la ville de Marioupol, au sud, reste sous le feu des bombardements souligne Le Parisien.

Citant des lieux tels que Bucha, Irpin et Hostomel, le conseiller du ministère de l'Intérieur Vadym Denysenko, a déclaré qu'environ 400 civils ont été retrouvés morts dans la région de Kiev ajoute Le Parisien.

"L’horreur des exactions a légitimement provoqué une vague d’indignation internationale. De leur côté, les humanitaires et les observateurs sur place commencent à récolter et documenter les preuves de crimes de guerre. Une tâche urgente et essentielle : si ces crimes ne doivent pas rester impunis, la justice ne peut que se fonder sur un travail de vérité." peut-on lire dans l'éditorial de La Croix. 

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