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Manuel Valls affirme une nouvelle fois que le déficit sera inférieur à 3% en 2017
©Reuters / Charles Platiau

L'espoir fait vivre

Dans un entretien accordé à L'Express, le chef du gouvernement a assuré que l'exécutif continuerait "à agir et à innover, tout en poursuivant les efforts de réduction des déficits".

L'économie, le nerf de la guerre. Dans un entretien accordé à L'Express, Manuel Valls promet une nouvelle fois que le déficit public sera inférieur à 3% en 2017. "Nous continuerons à agir et à innover, tout en poursuivant nos efforts de réduction des déficits. Je confirme ici que nous parviendrons à notre objectif : moins de 3% en 2017" Cet objectif a pourtant été mis en doute en juin par la Cour des comptes en raison des dépenses nouvelles engagées depuis le début de l'année.

Le Premier ministre précise également que plusieurs pistes sont étudiées pour soutenir le pouvoir d'achat des Français, notamment des baisses d'impôts ou une augmentation de la prime d'activité. "Les arbitrages pour 2017 n'ont pas encore été rendus. Ils sont liés aux perspectives de croissance. Mais le président de la République et moi-même voulons continuer de redonner du pouvoir d'achat aux Français. Différentes pistes sont envisagées : poursuivre la baisse de l'impôt sur le revenu ou encore augmenter la prime d'activité".

"Nous amorcerons aussi la réforme des minima sociaux avec de premières mesures de simplification dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale", a indiqué mardi le chef du gouvernement. Il a estimé que la lutte contre la précarité et la pauvreté seraient "au cœur de la présidentielle". Enfin, un débat sur le revenu universel pourrait bien être tenu "à condition d'en clarifier les termes et les modalités".

Sur un tout autre sujet, le chef du gouvernement a critiqué la candidature d'Arnaud Montebourg à la présidentielle. "Pourquoi, après avoir été solidaires et avoir participé à l'action gouvernementale, une telle violence dans les mots, qui ne sert ni leur démarche, ni la gauche ?" s'est-il interrogé. "Le moment oblige à beaucoup de gravité, de rigueur intellectuelle. La primaire n'est pas un congrès du PS, la présidentielle non plus". 

Lu sur L'Express

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