Guerre en Ukraine: Poutine fixe ses conditions de paix, Zelensky rejette l'«ultimatum» à la manière d’«Hitler»<!-- --> | Atlantico.fr
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Le président russe accepterait de négocier si Kiev retirait ses troupes de quatre de ses régions et renonçait à l'OTAN.
Le président russe accepterait de négocier si Kiev retirait ses troupes de quatre de ses régions et renonçait à l'OTAN.
©Sergei SAVOSTYANOV / SPUTNIK / AFP

Conflit

Le président russe accepterait de négocier si Kiev retirait ses troupes de quatre de ses régions et renonçait à l'OTAN. Des propositions qui se «heurtent au bon sens», aux yeux des représentants de l’Ukraine et de l’Otan.

Vladimir Poutine a déclaré vendredi qu'il négociera avec l'Ukraine en cas de retrait des forces ukrainiennes des quatre régions qu'il revendique et lorsque Kiev aura renoncé à rejoindre l'Otan, balayant le sommet pour la paix organisé en Suisse et auquel Moscou n'a pas été invité.

«Dès que Kiev (...) commencera le retrait effectif des troupes (des régions de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia), et qu'elle notifiera l'abandon de son projet d'adhésion à l'Otan, nous donnerons immédiatement, à la minute même, l'ordre de cesser le feu et d'entamer des négociations», a dit Poutine face aux cadres du ministère russe des Affaires étrangères.

Ces revendications constituent de facto une demande de reddition de l'Ukraine, dont l'objectif est de maintenir son intégrité territoriale et sa souveraineté.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rejeté vendredi l'«ultimatum» à la «Hitler» du président russe Vladimir Poutine qui exige de Kiev l'abandon de territoires en échange de pourparlers de paix, dans un entretien à la chaîne d'information italienne SkyTG24.

Le Figaro

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