Pour qui sonne le glas ?
“Le pronostic vital de la France est engagé”
Ainsi Le Figaro a titré l’interview de Pierre Brochand, ancien patron de la DGSE.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
La parole de cet homme est rare, ce qui la rend d’autant plus précieuse. Quand on a dirigé la DGSE, on sait des choses que le commun des mortels ignore. Mais les gouvernements que sert la DGSE n’ignorent rien.
Commentant les dernières émeutes, le diagnostic de l’ancien patron de la DGSE est sans appel : “Nous sommes victimes d’une immigration incontrôlée venant de pays extra-européens”. Et il ajoute que cela fait plus de trente ans que ça dure. Il pointe du doigt la présence sur notre sol de gens “qui n’ont ni nos us, ni nos mœurs, ni notre culture. Ils sont en guerre contre l’Etat national”, précise-t-il. Brochand a tout à fait raison.
Par veulerie et par lâcheté, nous avons renoncé à l’assimilation au profit de l’intégration qui ne veut rien dire. “De surcroît nous n’avons, conclut-il, tiré aucune leçon des émeutes de 2005”. On terminera ce texte avec cette phrase de Macron : “Qui aurait pu prévoir ce qui allait se passer ?”. Vraiment, Monsieur le Président ?
En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.
Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !