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Femme de 94 ans expulsée de sa maison de retraite : le fils "ment"
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Contre-attaque

Richard Claverie, co-directeur du groupe de Maison de retraite Beausoleil, a décidé de répliquer aux accusations formulées à son encontre mardi matin.

C'est ce qui s'appelle une contre-offensive. Richard Claverie, co-directeur du groupe de Maison de retraite Beausoleil, accusé d'avoir expulsé une femme de 94 ans de sa maison de retraite, a répondu ce mardi matin sur Europe 1 aux allégations de la famille. "Organisez donc un débat, une confrontation entre lui et moi, et vous verrez qu'il sera confondu dans ses mensongesJe m'indigne ce matin contre les allégations du fils" a-t-il indiqué.

Lundi, le fils de la vieille dame jugeait cette expulsion "ignoble" et disait "je vois ma mère toutes les semaines". Faux répond Richard Claverie. En deux ans, "notre équipe a tracé deux visites, l'une d'un frère, François, et l'autre de ce monsieur Alain", a-t-il répliqué. Dans cette affaire, "je rappelle qu'il faudrait poser les vraies questions dans ce débat : pourquoi une famille ne s'occupe-t-elle jamais de sa mère ? Pourquoi des enfants qui ont des moyens, l'un est gynécologue et l'autre conseiller de gestion en patrimoine, ne se sont jamais présentés auprès de nous pour nous payer ?" plaide-t-il.

L'affaire a éclaté lundi. Une nonagénaire, prénommée Anne, qui résidait depuis deux ans à la villa Beausoleil de Chaville, près de Paris, avait été transportée vendredi à Brou, dans l'Eure-et-Loir, où vit l'un de ses fils qui s'occupe administrativement de son dossier. Trouvant porte close, l'établissement avait décidé de la confier aux urgences d'un hôpital proche, à Châteaudun. 

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