Pauvre petit (tout petit) Nicolas…
Quand Sarkozy trahit Sarkozy et les siens !
Est-ce que c’est payant ?
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Pendant la campagne des présidentielles, il avait consciencieusement et inlassablement piétiné Valérie Pécresse. Elle était “nulle”, “incompétente”, “une pimbêche”.
Valérie Pécresse a fait un score lamentable lors de cette élection. Il est possible que Sarkozy ait eu une certaine influence sur ce résultat. Son pouvoir de nuisance était encore appréciable.
Des Républicains, il était le parrain au sens mafieux de ce terme. Puis les voyant à terre, il a abandonné cette bande en voie de disparition. Et il a accepté de jouer les utilités en s’enrôlant sous la bannière d’un autre capo mafioso : Emmanuel Macron.
Il a éprouvé le besoin de donner des gages de fidélité à son nouveau chef. Ainsi il a reçu la candidate macroniste de la 4eme circonscription de Paris pour l’assurer de son soutien. Elle était opposée à la députée sortante LR.
Résultat : la candidate macroniste a été élue. La trahison ça paye. Pauvre petit (tout petit ) Nicolas.
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