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"Ringard", "10000€ par semaine", "fake news"… Thierry Ardisson et Stéphane Guillon s’écharpent par médias interposés
©PATRICK KOVARIK / AFP

La guerre est déclarée

Le torchon brûle entre les deux anciens compères de "Salut les Terriens", et les remarques acides pleuvent. Règlements de compte ou coup de com'?

Ah, le monde merveilleux et plein de tendresse de la télé… Depuis deux jours, Thiery Ardisson et Stéphane Guillon sont à couteaux tirés et s’écharpent par médias interposés. Invité de C à vous mardi 13, Stéphane Guillon a tiré le premier. Venu pour faire la promo de son dernier livre, Journal d'un infréquentable, il a évoqué les coulisses de Salut les Terriens (dont il a été évincé) et lancé quelques piques à l’encontre de son ancien patron, qualifié de "ringard", et qui pleurerait "sur commande" pour paraître sensible. "Parfois il ne pleure pas au bon moment… On coupe et on refait la séquence pour qu’il pleure exactement là où il a décidé de pleurer puisqu’en conférence de rédaction on décide que Thierry pleure à tel moment". 

Piqué au vif, Thierry Ardisson a répliqué en quelques heures. Le lendemain, il a manié l’ironie dans un communiqué. "Stéphane, après ton échec au cinéma, puis ton échec au théâtre, il ne te reste plus que l'invention de fake news pour exister médiatiquement. En dix ans, tu n'as jamais participé à aucune conférence de Salut les Terriens ! et tu n'as pas davantage été présent lors des tournages des témoignages", a-t-il écrit, avant d'ajouter : "En revanche, tu gagnais 10.000 euros par semaine et je comprends qu'aujourd'hui cela te manque cruellement. Mais de là à mentir et à me dénigrer sans raison et sans preuve, il y a une limite que tu franchis dans la honte.

Réponse mercredi de Guillon, dans une lettre publiée par le Huffington Post. "Content d'avoir eu de tes nouvelles, commence-t-il, "je n'en avais pas eu depuis mon éviction de la chaîne en juin dernier, alors tu imagines ma surprise !". Avant d’ajouter : "Lorsqu'on étrille les gens, comme nous le faisons régulièrement toi et moi, il faut accepter d'être chambré en retour. C'est de bonne guerre. Les grands boxeurs étaient aussi de grands encaisseurs".

Grosse ambiance… Mais Le Figaro émet l’hypothèse que tout cela ne pourrait être qu’un buzz orchestré, dans l’optique… de faire parler d’eux. C’est (plus ou moins) réussi.

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