Le sexe sous l’emprise de drogues de synthèse, le chemsex, fait des ravages dans la communauté homosexuelle parisienne<!-- --> | Atlantico.fr
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Etude Chemsex
Etude Chemsex
©D. Cessa

Drogue

Une pratique qui se répand aussi au sein de la jeunesse hétérosexuelle

Pratiquée par la communauté homosexuelle parisienne depuis une dizaine d'années, le chemsex ne concerne pas que la communauté homosexuelle parisienne, il touche désormais aussi la jeunesse hétérosexuelle remarque Le Parisien, citant une étude datant de décembre dernier et mise en avant par la mairie de Paris.

Selon le Dr Dorian Cessa, à l’origine de l’étude, cette mode gagnerait aussi les villes de province.

Mais la capitale et sa proche banlieue restent, et de loin, les plus touchées par ce phénomène. « Ce n’est qu’à la marge, à l’occasion par exemple d’une overdose, comme il y a quelques années à Mantes-la-Jolie (Yvelines), ou lors d’une saisie douanière, que les policiers de la grande couronne parisienne s’intéressent à ce type de trafic », précise un officier affecté dans les Yvelines.

« Nous avions commencé à organiser des réunions pour savoir ce que nous pouvions faire face à ce phénomène, mais le Covid est venu interrompre notre travail », soupire Anne Souyris, l’adjointe en charge de la santé à la mairie de Paris, alertée sur les dangers du chemsex dès 2019 et citée par Le Parisien. « Il faut former les professionnels. Les médecins n’y connaissent rien et les policiers, pompiers et services sociaux ne savent pas toujours comment intervenir. »

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