Guet-apens devant un collège à Montpellier : « Rien ne justifie » l’agression de Samara, dénonce Emmanuel Macron<!-- --> | Atlantico.fr
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Emmanuel Macron a tenu à exprimer sa solidarité avec la jeune collégienne agressée.
Emmanuel Macron a tenu à exprimer sa solidarité avec la jeune collégienne agressée.
©POOL / MOHAMMED BADRA / AFP

Education nationale

Le président de la République a tenu à exprimer sa solidarité avec la collégienne agressée à Montpellier.

De nombreuses personnalités politiques ont tenu à réagir après l’agression d’une adolescente mardi devant son collège Arthur Rimbaud à Montpellier. En marge de son déplacement jeudi lors de l'inauguration du centre aquatique olympique de Saint-Denis, le président de la République a aussi évoqué cette agression et le sort de cette élève. Emmanuel Macron a souhaité « avoir un mot de solidarité pour cette jeune fille, pour sa famille », selon des informations du Figaro. La jeune Samara, âgée de 14 ans, a été agressée mardi devant son collège à Montpellier par trois mineurs, dont au moins une était scolarisée dans le même établissement.

Le président de la République a tenu à dénoncer l’agression dont a été victime la collégienne :

« Il n'y a rien qui justifie qu'une jeune fille, une adolescente, ait ainsi été agressée par plusieurs jeunes de son âge. Je pense qu'il est important dans ces moments-là d'abord d'être aux côtés de cette jeune fille, de sa famille, de lui apporter tout notre soutien ».

Emmanuel Macron a précisé qu’il sera « extrêmement ferme à l'égard des auteurs de ces faits ».

Les principaux suspects dans cette affaire ont été placés en garde à vue mercredi pour tentative de meurtre sur mineur, selon un communiqué du parquet de Montpellier. 

« Gravement blessée », Samara est sortie du coma et doit être entendue ce jeudi. Sa mère a confié sur Europe 1 que sa fille était victime de harcèlement scolaire. 

La ministre de l'Éducation Nicole Belloubet a annoncé jeudi en milieu d’après-midi lancer une enquête administrative pour « tout savoir sur ce qui s'est passé durant les semaines et les mois précédents ». 

Pour Marine Le Pen, c’est « l'islamisme qui s'en prend à nos enfants » a travers cette affaire. 

La mère de Samara, dans son témoignage, a précisé qu’un possible caractère religieux serait lié à cette affaire. Sa fille était traitée « de kouffar, qui veut dire mécréant en arabe ». 

Le Figaro

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