Meurtre d'une professeure d'espagnol à Saint-Jean-de-Luz : le parquet demande le placement en détention provisoire de l'adolescent<!-- --> | Atlantico.fr
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Le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, s'est exprimé au sujet de l'adolescent qui a poignardé sa professeure d'espagnol mercredi 22 février au collège-lycée Saint-Thomas-d'Aquin à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques).
Le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, s'est exprimé au sujet de l'adolescent qui a poignardé sa professeure d'espagnol mercredi 22 février au collège-lycée Saint-Thomas-d'Aquin à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques).
© GAIZKA IROZ / AFP

Déclaration

Cet élève, toujours en garde à vue, aurait prémédité son acte, cachant un couteau de 18 centimètres dans un «rouleau de sopalin» et portant un coup «sans hésitation». Il ne ferait état d'aucune maladie mentale de type schizophrénique, et devrait être accessible à une responsabilité pénale.

C'était une prise de parole très attendue. Le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, s'est exprimé au sujet de l'adolescent qui a poignardé sa professeure d'espagnol mercredi 22 février au collège-lycée Saint-Thomas-d'Aquin à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques). Quelques instants après la minute de silence observée dans les établissements scolaires de la zone A, le magistrat est revenu sur les circonstances du drame intervenu à 9h45 dans une salle de classe de l'établissement privé catholique.

Le procureur de la République de Bayonne a indiqué que l'adolescent «ne faisait état d'aucune maladie mentale de type schizophrénique». Il devrait donc être «accessible à une responsabilité pénale». Le parquet de Bayonne va demander son placement en détention provisoire et ouvrira dès demain une information judiciaire pour «meurtre avec préméditation».

Le suspect, né en 2007, est toujours en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Bayonne. Il a indiqué aux enquêteurs qu'une «petite voix» lui aurait demandé d'assassiner sa professeure la veille.

Le Figaro

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