La citoyenneté australienne offerte au «héros» français de l'attaque au couteau dans un centre commercial<!-- --> | Atlantico.fr
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Le Français Damien Guerot était intervenu héroïquement contre l'assaillant.
Le Français Damien Guerot était intervenu héroïquement contre l'assaillant.
©DAVID GRAY / AFP

Héros Français

Le Français Damien Guerot était intervenu héroïquement lors de l’attaque qui avait fait 6 morts dans un centre commercial très fréquenté de Sydney.

Dimanche, un Français avait héroïquement repoussé, à l'aide d'un poteau, l'assaillant qui a mortellement poignardé six personnes dans un centre commercial de Sydney. Le premier ministre australien Anthony Albanese a annoncé ce mardi 16 avril, qu’il se verra offrir la citoyenneté australienne. « Je dis à Damien Guerot, qui s'occupe de ses demandes de visa, qu'il est le bienvenu ici et qu'il peut rester aussi longtemps qu'il le souhaite», a-t-il fait savoir.

Le premier ministre a remercié Damien Guerot, pour son « extraordinaire bravoure » lorsqu'il a affronté Joel Cauchi, un homme de 40 ans souffrant de troubles mentaux, sur un escalator pour l'empêcher de faire d'autres victimes. « C'est quelqu'un que nous accueillerions volontiers comme citoyen australien, même si ce serait bien sûr une perte pour la France. Nous le remercions pour son extraordinaire bravoure», a-t-il précisé. Damien Guerot a été surnommé «l'homme au poteau» et qualifié de « héros » pour être intervenu lors de l'attaque au couteau de samedi dans un centre commercial très fréquenté de Sydney.

Lors de cette attaque, cinq femmes et un agent de sécurité pakistanais ont été tués. La police tente de déterminer si l'assaillant ciblait spécifiquement les femmes. Le premier ministre australien a aussi tenu à saluer l'entraide entre inconnus face à ce déchaînement de violence ainsi que la bravoure de la policière Amy Scott, qui a traqué, seule, l'agresseur et l'a abattu. « Je pense que samedi, nous avons vu le meilleur de la nature humaine en même temps qu'une tragédie dévastatrice », a-t-il ajouté.

Le Figaro

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